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Je veux que nous regardions l’Évangile de Jean, les chapitres 13, 14, 15 et 16, parce que je pense que c'est un passage très important de l'Écriture. Il y a beaucoup de parties de l'Écriture qui sont très précieuses pour le chrétien. Certains, évidemment, sont plus fascinants que d'autres. Mais dans ma propre vie, et de mon point de vue, je pense que c'est la section la plus précieuse de la Parole de Dieu ; Jean 13 à 16. C'est parce qu'il y a beaucoup de pathétisme, beaucoup d'émotion, beaucoup de sympathie, beaucoup d'amour. Mais plus que cela, parce que c'est l'héritage de Jésus-Christ à ses enfants, à ses disciples, à ceux d'entre nous qui le connaissons et l'aimons. Et comme je vous l'ai mentionné la dernière fois, la dernière volonté et le testament du Christ à ses disciples devraient certainement avoir une grande signification pour nous. Quand nous réalisons que Jésus-Christ, en quittant ce monde, nous a laissé un héritage incroyable, cela va enrichir nos vies à un tel point qu'il nous incombe de comprendre et de s'approprier ces choses qui sont dans ce passage. Vous devez dire que ce sont les possessions les plus précieuses des chrétiens.

Maintenant, vous vous souvenez que les chapitres 13, 14, 15 et 16 de Jean ont tous lieu en même temps, dans la chambre haute la nuit avant que Jésus ne soit fait prisonnier et crucifié. C'est son dernier partage avec ses disciples. Les 12 premiers chapitres de l'évangile de Jean traitent du ministère de Jésus dans la vaste région d'Israël. Les chapitres 13 à 16 de Jean traitent du ministère de Jésus aux disciples, le chapitre 17 sa prière au Père, et les chapitres 18 et suivants, de sa mort et de sa résurrection. Et ainsi en cela, le cœur de ce ministère particulier du Christ à ses disciples, se déroule tout dans Jean 13 à 16 comme nous le voyons donner des promesses aux siens ; des promesses qui s'étendent au-delà de ces hommes à tous ceux qui proclament le nom de Christ.

Il leur a annoncé qu'il allait mourir, c'est un coup dur, ils sont très tristes ; Dans le chapitre 16 et le verset 6, il dit : « Mais, parce que je vous ai dit ces choses, la tristesse a rempli votre cœur. » Or, ces disciples avaient mis toute leur confiance en Christ. Ils avaient mis toute leur confiance en lui, et je ne dis pas cela uniquement dans un sens spirituel. Je veux dire cela aussi physiquement, émotionnellement et même économiquement. Ils avaient confiance en lui pour chaque chose de leur existence, et maintenant il leur annonce qu'il les quitte. Mais il dit rapidement : « J'ai un héritage que je veux vous laisser.» Cela devient l'héritage de chaque chrétien qui vit. C'est la chose que Jésus a conçue pour encourager le cœur de ses disciples, pour les fortifier au moment de la grande tristesse et du grand stress, car ils le verront prisonnier et crucifié.

Maintenant, j'ai traité la dernière fois, cinq des dix choses que je veux vous mentionner qui sont l'héritage de Jésus à ses enfants. La première chose qu'il nous a laissée est la preuve de l'amour, et c'est dans le chapitre 13. À la fin du verset 1 dans le chapitre 13, il est dit : «et ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, Il mit le comble à Son amour pour eux. » Il les aimait totalement, et il voulait qu'ils sachent qu'il les aimait, car ils auraient pu ressentir, parce qu'il partait, qu’il était un peu indifférent à leurs besoins. Qu'il devait être un peu détaché en les laissant dans une telle situation désastreuse sans aucune ressource. Et ainsi il veut qu'ils sachent que ce n'est pas du tout la vérité, mais, qu'en effet, il les aime, et il les aime à la perfection. Et ainsi, dans Jean 13, il leur lave les pieds en signe de son amour, comme un symbole de son amour pour eux, il se penche pour les servir dans la servitude la plus basse qui puisse être imaginée. Et il dit : « Maintenant, c'est de l'amour, et c'est ainsi que je veux que vous vous aimiez, avec ce genre de service condescendant. » Et ainsi il leur a donné cette belle preuve d'amour.

Mais plus loin dans Jean 15, verset 12, souvenez-vous, nous avons étudié brièvement les versets 12 à 14, en indiquant simplement le verset 13 : « Il n'y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. Vous êtes mes amis. » Jésus est là encore en train de prouver son amour en disant : « Maintenant, le plus grand amour qu'un homme puisse avoir pour quiconque serait de sacrifier sa vie pour cette personne. » Et Jésus dit ceci, afin que quand il le fera, ils se souviendront qu'il l'a dit, et voient que c'est, en effet, un acte d'amour. Et ainsi, par le lavement des pieds de Jean 13, et par l'affirmation que « Il n’y a pas de plus grand amour que de mourir pour ses amis », Jésus prouve son amour. Il nous aime.

La deuxième chose que Jésus a laissé comme héritage n'était pas seulement la preuve de l'amour, mais l'espoir du ciel, chapitre 14. Il a dit : « Je m'en vais, mais je reviendrai vous chercher, et je vous emmènerai dans un endroit que je suis en train de préparer pour vous. Que votre cœur ne se trouble point. Si vous faites confiance à Dieu, vous pouvez avoir confiance en moi. » Et il y a une déclaration de son égalité avec Dieu. « Je m'en vais préparer votre chambre dans la maison du Père. » Et il leur a promis l’espoir du ciel.

La troisième chose qu'Il leur a promis que nous avons vu la dernière fois était la garantie du pouvoir, dans Jean 14 : 11 et 12. Il dit : « Croyez du moins à cause de ces œuvres. En vérité, en vérité, je vous le dis » - Jean 14 : 12 – « celui qui croit en moi fera aussi les œuvres que je fais, et il en fera de plus grandes, parce que je m'en vais au Père ». Voici la promesse ou la garantie du pouvoir. C'est parce qu'il va vers le Père que nous et les disciples, principalement présents, nous serons capables de faire de plus grandes œuvres que lui. Et nous avons discuté de ce que cela signifiait, non pas que nous ferons des œuvres plus puissantes, car il ne saurait y avoir une plus grande puissance que la puissance de Dieu. Nous ne ferons aucune œuvre qui soit plus grande en nature, parce que nous ne pouvons rien faire de plus grand que de ressusciter les morts et de créer des choses, et c'est ce qu'il a fait.

Mais ce à quoi il a fait allusion, c'est que l'extension de son pouvoir serait plus grande en termes de propagation qu’elle n’a jamais été pendant son ministère. Les miracles de l'église primitive ont été portés à une zone géographique beaucoup plus vaste que pendant la vie de Jésus. Et depuis ce temps, le miracle de la transformation du pouvoir et de l'acte de salut a été porté tout autour du globe, et c'est ce qu'il avait en tête. Ce n'est que parce que je serais parti, que cela va vous rendre impuissant, mais plutôt que vous allez pouvoir sortir d'ici et étendre le pouvoir de Dieu à des endroits où cela n'a jamais été proclamé auparavant. Donc, la preuve d'amour, l'espérance du ciel, la garantie du pouvoir.

Et la quatrième chose que nous avons vu la dernière fois c’était l'assurance de l'approvisionnement, Jean 14 : 13, « et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai. » Le verset 14 dit la même chose : « Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai. » Et nous voyons que Jésus dit : « Regardez, je sais que cela semble effrayant pour vous de me voir partir et que vous avez peur de ne pas avoir de ressources, mais permettez-moi de vous rassurer en vous disant que vous aurez ce dont vous avez besoin si vous me le demandez tout simplement ». Et comme nous l'avons souligné la dernière fois, la prière est le cordon ombilical qui nous relie à la source du pouvoir, à la source de l'approvisionnement du ciel. Le Christ nous a promis que toutes choses sont à nous. Paul a fait écho à cela quand il a dit, « Mon Dieu fournira » - quoi ? – « à tous vos besoins selon ses richesses par Christ Jésus. » Une grande déclaration, « selon ses richesses », pas en venant de ses richesses, mais selon ses richesses ! Il ne nous donne pas un petit morceau de ce qu'il a. Il nous donne selon ; dans une mesure égale à l'offre, il donne pour répondre aux besoins. Et ainsi la promesse du Seigneur Jésus-Christ est que nous aurions une assurance d'approvisionnement, que nous ne manquerons jamais de rien de ce qui sera nécessaire pour nous, mais que nous aurons un approvisionnement absolu. Et cela nous est acquis en cherchant le Père dans la prière afin que, lorsqu'il donne, il soit glorifié pour son action.

Alors la cinquième chose que nous avons vu la dernière fois, là où nous nous sommes arrêtés, c’est que le Seigneur nous donne non seulement la preuve de l'amour, l'espoir du ciel, la garantie du pouvoir, l'assurance de l'approvisionnement, mais encore l'apogée, au moins de ces cinq premières choses : la promesse du Saint-Esprit. Il dit au verset 16 du chapitre 14 : « Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre paraklētos, un consolateur, un assistant surnaturel, afin qu'il demeure éternellement avec vous. » Le verset 17 nous dit qui c'est, « l'Esprit de vérité. » Verset 26 : « Mais le consolateur, l'Esprit-Saint, que le Père enverra en mon nom », et là encore, vous avez la même idée indiquant la venue du Saint-Esprit pour habiter en nous pour plusieurs raisons. Nous avons dit la dernière fois que le Saint-Esprit vient en nous pour nous donner du pouvoir, Actes 1 : 8. « Mais vous recevrez une puissance, le Saint-Esprit survenant sur vous. »

Le Saint-Esprit vient nous consoler. Il parle du réconfort du Saint-Esprit. Le Saint-Esprit vient pour garantir notre héritage. Nous avons reçu les arrhes de l'Esprit. L'Esprit vient sceller notre salut. Il y a beaucoup de choses que fait l'Esprit. Le don du Saint-Esprit nous est donné par le Christ pour nous équiper pour le ministère auquel Il nous appelle. Donc, en tant que chrétiens, nous sommes riches. Nous avons la preuve de l'amour, l'espérance du ciel, la garantie du pouvoir, l'assurance de l'approvisionnement et le don du Saint-Esprit. Maintenant, je veux vous donner les cinq dernières choses, et elles sont très, très simples et très basiques, et pourraient être étendues beaucoup plus loin que ce que je vais faire ce matin. Je vais juste faire un travail de surface.

Sixièmement, notre Seigneur nous a laissé la possession de la vérité. Vous savez, c'est un monde frustrant dans lequel nous vivons pour celui qui cherche la vérité. Je pense toujours à la réponse cynique de Pilate, qui a dit à Jésus : « Qu’est-ce que la vérité ?» Il était au point de sa vie où il était si fatigué de l'effort pour faire son possible qu'il était devenu cynique, et c’était comme pour dire « Ah, il n'y a pas de vérité ». La Bible parle du fait que les hommes cherchent la vérité et ne la trouvent jamais, que beaucoup de livres sont écrits sur le sujet, mais que très peu trouvent la vérité ; que la philosophie de l'homme est une tromperie vaniteuse. La lutte de l'homme pour découvrir la réalité, et par là je veux parler de la réalité ultime du destin, de l'éternité, de l'origine, du salut, du but, de faire partie d'un continuum éternel. Toute cette sorte de vérité est la chose que l'homme cherche si désespérément ; ce vide rongeant dans son cœur qui ne peut être rempli qu'en connaissant notre raison d’être. Et pourtant, Jésus nous en a parlé.

Regardez Jean, chapitre 14, verset 17. En nous donnant l'Esprit, il précise, « l'Esprit de vérité. » Le Saint-Esprit est inséparable de la vérité, et quand Dieu nous a donné l'Esprit - maintenant notez-le - l’enseignant de vérité habite en nous. L'Esprit de Dieu dans la vie d'un croyant est un révélateur subjectif de la vérité. Autrement dit, je veux dire subjectif dans la mesure où, intérieurement, l'Esprit de Dieu nous conduit à la connaissance de la vérité. C'est une grande réalité, de savoir que le Seigneur Jésus-Christ nous a accordé un enseignant de la vérité.

Je veux vous attirer à 1 Jean pendant une minute, chapitre 2, verset 20, où il compare les antéchrists avec les vrais chrétiens, montrant la différence. Mais au verset 20, il se concentre sur une différence très fondamentale, et il y a plusieurs différences dans les versets 18 à 27. Nous allons simplement choisir celui-ci. La première différence c’est que les vrais chrétiens, par opposition aux antéchrists, les vrais chrétiens ont « reçu l'onction de la part de Celui qui est saint, et vous avez tous de la connaissance. » Nous avons une onction. Le mot grec signifie littéralement onguent. Nous avons une huile, une onction. Et celui-là vient de celui qui est Saint. De Dieu Lui-même, de Christ, et vous savez, ce que nous avons comme résultat ? Toutes choses !

Maintenant, cela ne signifie pas toutes choses en termes de toutes choses dans l'univers, égales à Dieu. 1 Corinthiens 13 : 9 dit : « Car nous connaissons en partie, et nous prophétisons en partie. » Ce n'est donc pas l'idée de savoir tout ce qu'il y a à savoir, mais nous connaissons toutes les choses qui, selon les paroles de Pierre, se rapportent à la vie et à la piété. Nous connaissons toutes les choses nécessaires pour comprendre le salut et le comportement qui en découle. Nous savons toutes les choses nécessaires, parce que nous avons un enseignant de la vérité qui habite en nous. Subjectivement, Il travaille sur notre conscience pour la mettre en conformité avec la vérité de Dieu.

Maintenant, remarquez le verset 21. « Je vous ai écrit, non que vous ne connaissiez pas la vérité. » Le voyez-vous ? Et au milieu, il a dit : « non que vous ne connaissiez pas la vérité, mais parce que vous la connaissez. » « Je vous ai écrit » - maintenant, regardez ceci - "Je vous écris ces choses parce que vous savez la vérité. » Vous dites, « Quel est le but de cela ? » Vous avez l’enseignant de vérité subjective. Mais regardez. Maintenant je vous donne la révélation objective, et la combinaison de ces deux vous équipe avec tout ce qu’il faut pour comprendre. Et c'est seulement quand vous avez - écoutez – l’enseignant de vérité en vous que vous êtes capable de comprendre cela, n'est-ce pas ? 1 Corinthiens nous le dit très clairement au chapitre 2. « Mais l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu. » La seule façon de comprendre les choses de Dieu c’est d'avoir l'Esprit de Dieu. Dans 1 Corinthiens, plus loin dans le chapitre 12, il est dit : « nul ne peut dire que Jésus est le Seigneur ! si ce n'est par le Saint-Esprit. »

Nous avons donc l’enseignant de la vérité en nous, dit Jean : « Par conséquent, je vous écris la révélation objective, vous la comprendrez car ils se réuniront pour vous donner la vérité composée que Dieu veut vous donner » : la vérité en tant que théologie objective et la vérité comme direction personnelle dans votre vie par l'application de la Parole par le Saint-Esprit. Maintenant, allez au verset 27. Et il parle plus loin de cela - au verset 27, il dit : « Pour vous, l'onction que vous avez reçue de lui demeure » - où ? - «en vous». Maintenant, qui est l'onction, l’avons-nous dit ? Qui est l'onction ? Qui est l'onguent? L'huile? Le Saint-Esprit ! Et le Saint-Esprit demeure en vous. C'est beau ! Regardez toutes ces choses à propos du Saint-Esprit. Il vient du Christ. Vous l’avez reçu de lui. Il est interne, en vous. Il est permanent, colocataire, présent en continu. Il est suffisant.

« Vous n'avez pas besoin que quelqu'un vous enseigne. » Vous dites, « Alors rentrez chez vous, MacArthur, et laissez-nous tranquille. » Non, je ne vais pas rentrer à la maison. Je ne suis toujours pas chercheur d’emploi, il y a encore du travail. Vous dites: «Il est dit que nous n'avons besoin de l’enseignement d'aucun homme.» Oui, mais je veux interpréter cela, si vous m’en donnez le privilège - et je vais le faire de toute façon. Ce que cela signifie, c'est que nous ne dépendons pas de l'enseignement humain. Nous n'avons pas besoin d'entendre l'enseignement humain. Maintenant, cela ne veut pas dire, « Oh, je peux enlever mes enfants de l'école. Ils n'ont pas besoin d'apprendre quoi que ce soit. » Mais, non, cela ne veut pas dire cela. Il fait référence à l'enseignement du salut dans tout ce contexte ; enseigner la piété, enseigner la vérité éternelle en relation avec Dieu. Quand il s'agit de tout cela, nous n'avons pas besoin d'hommes pour nous enseigner. Nous sommes enseignés par le Saint-Esprit.

Maintenant, parfois le Saint-Esprit vous enseigne à travers moi, mais c'est toujours le Saint-Esprit, n'est-ce pas ? Vous n'avez pas besoin d'étudier les approches humaines de la religion. Comme je vous l'ai déjà dit, la seule fois où la religion humaine a raison, c'est quand elle croise l'Écriture. Et quand cela se produit, vous n'avez pas besoin de religion humaine, parce que vous avez déjà l'Écriture. Le reste du temps, c'est faux, et vous n'en avez sûrement pas besoin. Ainsi, la Parole de Dieu, qui nous est accordée objectivement, se combine avec l'onction de Dieu, qui est le Saint-Esprit qui habite en nous, en permanence, qui fournit l'application de la vérité pour que nous la connaissions. Maintenant, c'est l'héritage de Jésus pour nous. Pensez-y. Lorsque vous voulez connaître une réponse à n'importe quelle question, vous pouvez aller directement à ce livre. C'est ici ! C'est le trésor qui gouverne votre vie.

Maintenant, revenons au chapitre 14 de Jean pendant une minute, puis nous examinerons quelques autres choses, pour en dire plus. Mais plus loin dans Jean 14, je veux ajouter le verset 26, et là nous revenons à la partie objective. « Mais le consolateur, l'Esprit-Saint » - ou l'Esprit de vérité – « que le Père enverra en mon nom » - est conforme à ma personne. Il sera égal à moi – « vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. »

Maintenant, bien-aimés, je veux que vous sachiez tout d'abord que ce verset n'a pas d'application primaire pour tous les chrétiens. Il a une application primaire aux auteurs du Nouveau Testament, aux prédicateurs apostoliques dans la première ère de l'église. Et ce que c'est, c'est une promesse d'inspiration verbale. Remarquez, Il dit : « Maintenant, je vais m'en aller, mais quand l'Esprit viendra » - voici le point 1 – « Il vous enseignera toutes choses que vous n'avez pas encore apprises, mais que vous devez savoir pour avoir l'image totale du salut. Et Il apportera aussi toutes les choses passées que j'ai enseignées à votre souvenir. »

Maintenant, vous avez les deux facettes du Nouveau Testament. Vous avez dans la première, « Il vous rappellera tout », le récit des évangiles dans Matthieu, Marc, Luc et Jean. Et quand ils se sont assis pour écrire ces évangiles, ils ont dû se souvenir des choses que Jésus a dites, n'est-ce pas ? Parce que ces quatre évangiles racontent la vie du Christ. Comment s’en souviennent-ils ? Oh, c’est dit juste là. « L'Esprit-Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera toutes choses, et vous rappellera tout ce que je vous ai dit. » Quand le Nouveau Testament raconte dans les évangiles les paroles de Jésus, sont-elles exactes ? Elles feraient mieux de l'être. Le Saint-Esprit le fait, il ne fait jamais d'erreur, et il ne ment jamais. Selon 1 Jean 2, « Il n'y a pas de mensonge en Lui. Il est l'Esprit de vérité. » Le verset 17 dit, ainsi quand l'Esprit de Dieu rappellera les choses, elles seront exactes. Ainsi, vous pouvez lire les Évangiles, bien-aimés, y lire la vie du Christ, et avoir une confiance absolue à cause de la promesse de Jésus que ce que vous lisez est, en fait, sa Parole même.

N'est-ce pas une grande confiance ? Quand je lis la Bible, je n'ai pas besoin de spéculer pour savoir si c'est exact ou non. Si Jésus a dit : « Quand cela arrivera, ce sera exact », alors je crois à sa parole, n'est-ce pas ? Ainsi, Il dit : « Quand vous écrirez les Évangiles, vous vous souviendrez exactement par l'Esprit. » Mais il y a un autre point. « Aussi, je continuerai à vous enseigner toutes choses. » Et cela commence au livre des Actes et va jusqu'à la fin de l'Apocalypse. « Il y a encore plus à dire, et je vous l'enseignerai par le Saint-Esprit. » Et ainsi vous avez le Livre des Actes, toutes les lettres de Paul, les épîtres générales, et ensuite le livre de l'Apocalypse. Et ceci est une promesse d'inspiration verbale. C'est une promesse d'exactitude divine. C'est la promesse que lorsque je prends cette Écriture, et que je commence à la lire, je peux être sûr que c'est exact, parce que Jésus m'a promis qu’elle le serait. Jésus m'a promis que cela serait enregistré dans l'esprit du Saint-Esprit, qui est appelé l'Esprit de quoi ? De vérité. C'est la vérité.

Et donc nous trouvons une double promesse, alors : vous vous souviendrez et vous apprendrez de nouvelles choses. L'apôtre Paul en témoigne dans le troisième chapitre d'Éphésiens, où il dit : «si du moins vous avez appris quelle est la dispensation de la grâce de Dieu, qui m'a été donnée pour vous. », en d'autres termes : « Si vous avez entendu parler du ministère, si vous avez entendu parler de ce que Dieu m'a appelé à faire » - c'est ici – « C'est par révélation que j'ai eu connaissance du mystère. » Maintenant, passez au verset 5, « Il n'a pas été manifesté aux fils des hommes dans les autres générations, comme il a été révélé maintenant par l'Esprit aux saints apôtres et prophètes de Christ. » Paul dit : « J'écris toutes ces choses par l'Esprit. Tous les mystères qui n'ont jamais été révélés et qui m'ont été donnés par la révélation de Dieu viennent du Saint-Esprit, qui est appelé l'Esprit de vérité. »

Paul dit : « Vous pouvez croire tout ce que j'écris. » Jésus dit : « Vous pouvez croire tout ce que je vais vous rapporter. » Et quand ces premiers hommes ont écrit, et quand ces premiers apôtres ont prêché, Dieu les a inspirés à dire la vérité et se souvenir des paroles de Jésus avec une précision absolue. Et quand ils ont commencé à enseigner une nouvelle vérité, l'Esprit de Dieu leur a donné une nouvelle révélation qui a ensuite été écrite pour constituer le Nouveau Testament. Et, tout cela se rassemble pour nous dire que nous avons la vérité. Non seulement l'objectif, la vérité biblique, mais le maître de la vérité qui habite en nous, subjectivement, et la combinaison de ces deux choses nous garantit la connaissance de la vérité. Et je me risquerais à dire, bien-aimés, qu'un homme ou une femme devrait être un imbécile pour ne pas étudier la vérité. N'est-ce pas? C'est la vérité qui nous bénit. C'est quand nous obéissons à la vérité que Dieu est capable de répondre dans la bénédiction. Un jour imaginez comment ce serait sans la Parole de Dieu.

Comme dans l'histoire d'Israël, quand ils ont oublié la Parole de Dieu, ils se sont effondrés. Pourquoi ? Parce qu'ils n'avaient plus de lignes directrices. Je pense à ma propre vie. Il ne se passe rien dans ma vie que je ne puisse voir qu’au travers des Écritures. Dans tout ce qui m'arrive, je pense, « Maintenant, comment cela se rapporte-t-il aux Écritures? Quel est le modèle biblique ? Quel est le standard biblique ? Que disent les Écritures à ce sujet, pour que je sache comment me comporter ? » Nous nous réunissons en tant qu'aînés prenant beaucoup de décisions, et les choses qui nous préoccupent dans ces décisions sont les choses des Écritures. Qu'est-ce que Dieu a à dire à ce sujet ? Quelle est sa parole pour nous sur ce sujet ? C'est formidable de pouvoir avoir une ressource comme celle-ci. Être capable d'aller dire : « C'est ce que Dieu veut, et si nous obéissons, nous serons bénis. » Quand vous ouvrez la Parole de Dieu, vous avez cette merveilleuse vérité que le monde ne connaît pas.

Maintenant, regardez Jean 16 : 12, et je vais vous montrer une de mes petites déclarations préférées. De toutes les déclarations de Jésus, celle-ci est parmi mes préférées. Jean 16 : 12, parle toujours de la même idée. « J'ai encore beaucoup de choses à vous dire. » Arrêtez-vous là. N’est-ce pas beau ? C'est tellement personnel. Il ne dit pas: « Maintenant, il y a plus de décrets qui viennent du trône. » Il dit : « J'ai beaucoup à vous dire.» C'est très personnel. Je ne sais pas comment vous vous sentez, mais quand je prends l'Écriture, je m'engage dans une conversation avec Jésus, parce que je réalise que tout ce qui est dit dans le Nouveau Testament vient de Lui. Il laisse simplement le Saint-Esprit jouer l'agent de transport pour arriver jusqu’à nous. Le Saint-Esprit est une sorte de facteur surnaturel. Mais Jésus est celui qui a écrit la lettre.

Vous dites : « Où voyez-vous cela, John ? » Verset 13 : « Quand le consolateur sera venu, l'Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité ; car il ne parlera pas de Lui-même, mais Il dira tout ce qu'Il aura entendu et il vous annoncera les choses à venir. Il me glorifiera, parce qu'il prendra de ce qui est à moi, et vous l'annoncera. » Vous voyez ? Le Saint-Esprit prend la lettre du Christ comme la sienne et la délivre. Et ce Nouveau Testament est la parole de Dieu, la Parole du Fils par l'Esprit pour le croyant. « J'ai beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les digérer maintenant, alors je dois attendre un peu, et je vais demander au Saint-Esprit de vous les apporter plus tard. » Et je suis sûr que les disciples ont été rassurés quand ils ont entendu cela.

Pouvez-vous imaginer à quel point ils ont été excités le jour où l'Esprit de Dieu est venu sur eux et qu’ils ont commencé à écrire le Nouveau Testament, ou quand ils se sont levés pour prêcher. Dieu passait son message à travers eux, et ils ont parlé de réalité divine, de vérité divine, avec plénitude et épanouissement ? Si vous pouvez garder cette petite remarque à l'esprit, cela vous aidera dans votre étude biblique. Jean 16 : 12, « J'ai encore beaucoup de choses à vous dire. » La prière, nous disons toujours, est le fait de parler au Seigneur. La lecture de la Bible c'est le Seigneur qui nous parle. J'étudie tous les jours la Parole de Dieu, et toujours, dans mon esprit, j’ai le désir que Dieu se révèle, et donc je prie toujours pour que Dieu m'aide pendant que j'étudie et que je contourne les faiblesses et la confusion qui peuvent être dans mon esprit à un moment donné.

Et je pense en moi-même, en entrant dans la Parole de Dieu, « Ce n'est pas académique. Ce n'est pas une grande chose bizarre qui est tombée un jour du Ciel. Ce n'est pas comme la loi du Sinaï, gravée d'un doigt enflammé sur une pierre, et puis, vous savez, transmise aux hommes par le tonnerre et la foudre. C'est Jésus qui dit : « Hé, MacArthur, j'ai quelque chose à te dire aujourd'hui. » Et aussi longtemps que je peux concevoir cette intimité personnelle, l'étude de la Bible devient, pour moi, une communion plutôt qu'une étude académique. Jésus me parle, et je dis toujours : « Seigneur, parle-moi. » Ne dites-vous pas cela ? « Parle-moi dans Ta Parole. » Et c'est vraiment ce qu’il en est, le Saint-Esprit nous parlera les paroles du Christ. C'est une grande promesse, une belle promesse.

Si vous regardez Jean 15 : 26, nous voyons une autre remarque à ce sujet : "Quand sera venu le consolateur, que je vous enverrai de la part du Père, l'Esprit de vérité, qui vient du Père, il rendra témoignage de moi. » Maintenant, regardez cela. « Et vous aussi, vous rendrez témoignage, parce que vous êtes avec moi dès le commencement. Et vous êtes les hommes », dit-Il à ces disciples, « qui vont tout écrire. Vous êtes la clé. Cela va venir à vous, et vous allez l’écrire. » Vous mettez toutes ces Écritures ensemble, et ce que vous avez, c'est la promesse du Nouveau Testament. Comprenez-vous cela ?

Jésus nous a laissé le Nouveau Testament. C'est son héritage. Vous l'ouvrez, Il vous parle et il est vivant. La Bible dit d’elle-même : « La Parole de Dieu est vivante ». Hébreux 4 : 12. Elle est vivante, elle pénètre, et elle divise. Elle a la capacité de donner la vie. Elle a la capacité de transformer la vie. Elle a la capacité de soutenir la vie. Elle est vivante ! Et ainsi nous voyons la Parole de Dieu comme l'héritage vivant de Jésus, qui a quelque chose à nous dire. Allons à la septième chose. Il nous a donné la preuve de l'amour, l'espérance du Ciel, la garantie du pouvoir, l'assurance de l'approvisionnement, le don de l'Esprit, la possession de la vérité divine.

Numéro sept : l'héritage de la paix. C'est quelque chose que le monde ferait bien de trouver. Dans le verset 27 du chapitre 14, dans sa conversation, il leur a aussi promis la paix. « Je vous laisse la paix » - j'aime cela. Quelle paix ? « Je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s'alarme point. » Un héritage de paix ; de quoi parle-t-Il ? Il y a deux sortes de paix dans les Écritures. Il y a la paix avec Dieu dont on parle dans Romains 5 : 1, « Nous avons la paix avec Dieu. » Vous savez ce que cela signifie ? Vous savez ce que signifie la paix avec Dieu ? Cela signifie que la guerre est terminée. C'est comme un traité. Dans Éphésiens, Paul dit : « Nous étions ennemis et aliénés de la vie de Dieu » - et ainsi de suite - nous étions en guerre avec Dieu, nous avons reçu Jésus-Christ, et nous étions en paix avec Dieu. En fait, Paul l'appelle dans Éphésiens 6 : 16, « L'évangile de la paix ».

Quelles sont les bonnes nouvelles de la paix ? Qu'un homme puisse arrêter sa rébellion, et être en paix avec Dieu ; que Dieu sera de notre côté. Qu'Il serait pour nous. Et la Bible dit : « Si Dieu est pour nous, qui peut être contre nous ? » Il est tout puissant. Et c'est la promesse, que lorsque nous devenons chrétiens et que nous mettons notre foi en Christ, Dieu s'installe dans notre équipe. Et c'est pourquoi, dans Éphésiens, chapitre 6, verset 15, il dit : « mettez pour chaussure à vos pieds le zèle que donne l'Évangile de paix. » Et ils portaient des bottes cloutées qui tenaient bien le sol quand ils se battaient. Et il dit : « Le moyen de garder une position ferme est de vous rappeler que vous êtes en paix avec Dieu, et il est dans votre équipe. » Et quand vous entrez dans une bataille avec Satan, tout ce que vous avez à dire, c’est, 'Dieu, à l’attaque' ! Dieu est dans mon équipe. C'est fabuleux. Et si Dieu est pour moi, tout le monde peut regarder. Ce ne sera pas facile pour eux.

Maintenant, c'est le point que je veux vous transmettre. La paix avec Dieu signifie que Dieu est dans mon équipe. Quelle confiance ! Les Indiens Quechua en Équateur ont un mot pour la paix qui signifie s'asseoir dans votre cœur. Cela signifie simplement être à la maison, être au repos et s'asseoir dans son cœur. Vous entrez dans une guerre, asseyez-vous, laissez-le combattre pour vous. Mais ce n'est pas vraiment la paix dont il parle ici. J'ai juste ajouté cela mais c’était bien, n’est-ce pas ? Mais au verset 27, Il a une autre sorte de paix mentionnée. « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s'alarme point. » Ce n'est pas la paix objective de la relation à Dieu, c'est la paix subjective de la tranquillité de l'esprit, mais la seconde vient de la première, n'est-ce pas? C'est pourquoi je vous l'ai donnée.

C'est parce que j'ai Dieu de mon côté que je suis en paix. Je suis d'abord en paix avec Dieu, et parce que je suis en paix avec Dieu, je suis en paix avec moi-même. Chaque fois que j'arrive à un endroit où je pourrais commencer à m'inquiéter, je dis : «de quoi suis-je inquiet ? Dieu est dans mon équipe, et s'il fait partie de mon équipe, de quoi vais-je m'inquiéter ? » Regardez Philippiens 4, je pense que nous pourrions, peut-être, avoir une idée à ce sujet, Philippiens 4 : 7. « Et la paix de Dieu » - vous remarquez la distinction? Quand vous avez la paix avec Dieu, vous recevez la paix de Dieu. C'est la tranquillité subjective qui vient avec le fait objectif de votre identification en tant que membre de l'équipe de Dieu. Alors vous avez « La paix de Dieu, qui surpasse tout entendement. »

C'est le genre de paix qui n'a pas de sens. C'est ridicule d'avoir autant de paix dans la situation dans laquelle vous vous trouvez. Et que fait cette paix ? Elle garde, et c'est un terme militaire signifiant « repos » - elle garde votre cœur et votre esprit ; vous empêche d’exploser, de perdre votre sang froid et de vous retrouver dans une cellule rembourrée. Qui est-ce qui le fait ? La paix de Dieu qui vient quand vous reconnaissez que vous êtes en paix avec Dieu. Quand je réalise que Dieu est dans mon équipe, je n'ai rien à craindre. Et le vrai fait que Dieu est de mon côté doit me donner la paix avec moi-même, afin que je puisse m’asseoir dans mon cœur et me reposer. Et quand tout le reste explose autour de moi, je peux être celui qui est en paix, et personne ne le comprendra.

La chose qui rend cela possible remonte au verset 5 de Philippiens 4, à la fin du verset, « Le Seigneur est proche. » Cela ne parle pas du retour du Christ, cela parle de la présence du Seigneur. Le Seigneur est là, n'est-ce pas ? « Le Seigneur est proche. Par conséquent, soyez anxieux pour rien ». De quoi êtes-vous inquiet ? Le Seigneur est ici, et il est dans votre équipe. Qu'est-ce qui vous inquiète ? Vous dites : « Mais j'ai des problèmes. » C’est vrai ? Faites ceci : en toute choses, par la prière, la supplication, avec l'action de grâce, laissez simplement vos demandes où ? Dites-Lui simplement, « Seigneur, j'ai un problème. » Laissez-le en prendre soin. Il est toujours là. Le Seigneur est proche. Ne vous inquiétez pas. Priez à ce sujet, et le résultat sera, verset 7 : « Et la paix de Dieu, gardera vos cœurs et vos pensées. »

Laissez-moi vous dire quelque chose, je ne crois pas que la paix de Dieu vous protège vraiment. Reconnaissez, premièrement, que vous êtes en paix avec Dieu. Il est toujours là, et, au lieu de vous inquiéter, priez et remettez lui tout. Alors vous allez avoir la paix de Dieu. Ainsi, la merveilleuse promesse que Jésus a faite était : « Je vais vous donner ma paix. » La même sérénité belle et imperturbable qui l'a marqué peut vous marquer. Pas de crainte, la paix ! Vous savez pourquoi Jésus avait une telle paix ? Pensez-y. Il aurait pu être très nerveux en allant à la croix. Imaginez comment vous auriez été. Mais Il est allé avec une sérénité absolue, une paix absolue. Vous savez pourquoi ? Parce qu'Il savait que le Père était là, n'est-ce pas ? Il savait que le Père était là, et vous avez le même droit de passer par n'importe quelle épreuve avec la paix, parce que vous connaissez la position du Père.

Dans Jean 16 : 33, il ajoute une autre réflexion à ce sujet, revenant à la même idée. « Je vous ai dit ces choses, afin que » - et c'est le seul endroit où vous trouverez la paix – « vous ayez la paix en moi. » Que cela soit connu, pour tous les temps, à tous ceux qui l'entendent, que le seul endroit où vous trouverez la paix est en Lui. « Dans le monde, vous aurez des tribulations », mais ne vous inquiétez pas à ce sujet. « J'ai déjà vaincu le monde. » Ne vous inquiétez pas pour le monde. Vous allez avoir des problèmes. C'est bon. Je l'ai déjà vaincu. J’ai tout contrôlé. Soyez en paix. Et je pense vraiment que lorsque vous méditez sur qui est Dieu, sur le fait qu'il est dans votre équipe, le résultat peut être la paix.

Il y a une huitième chose, très rapidement, qu'Il nous donne dans notre héritage, et c'est la promesse de fruits. C'est dans Jean 15, verset 5. « Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi » - et je crois que cela fait référence à un chrétien là-bas, tout chrétien demeurant en Christ – « Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit. » C'est bon ! Vous savez, Il dit que nous sommes caractérisés par des fruits. Savez-vous qu'il n'y a pas de chrétien sans fruit ? C'est vrai. Vous ne pouvez pas être un chrétien sans fruit, car tous les chrétiens doivent avoir du fruit. « Par leurs fruits, vous devez » - quoi – « les connaître ». C'est la marque d'identification.

Je suis convaincu que certains chrétiens ont de petits fruits. Je ne devrais pas le dire de cette façon. Certains chrétiens portent peu de fruits. Certains chrétiens sont des chrétiens de fruits, et certains chrétiens sont des chrétiens de plus de fruits, mais il n'y a pas de chrétien sans fruit. Vous savez, nous tous, bien-aimés, Jésus nous avait promis que nous porterions du fruit. Vous dites : « Qu'est-ce que le fruit ? » De bonnes actions, des actes justes, gagner des cœurs à Christ. Nous en avons déjà parlé. Mais laissez-moi vous donner une idée générale. Le fruit est le produit d'une vie qui continue. Le fruit est quelque chose qui vit au-delà de moi, quelque chose que je reproduis. N'est-ce pas super d'avoir une part au continuum éternel en produisant des fruits qui seront là quand vous serez partis ?

Regardez le verset 16 de Jean 15. C'est fabuleux. « Ce n'est pas vous qui m'avez choisi ; mais moi, je vous ai choisis » - et c’est vrai – « et je vous ai établis » - maintenant, ce n'est pas une option, c'est une promesse – « que vous portiez du fruit. » Vous voyez ? Les chrétiens vont porter du fruit. Et j'aime ce prochain passage - oh, c’est fantastique – « et que votre fruit » - quoi ? – « demeure ». N'est-ce pas formidable ? Les chrétiens ne sont pas comme un feu de paille, ici un jour et partis le lendemain. Les chrétiens ne vivent pas seulement pour manger, pour éliminer, pour manger, pour éliminer, ils meurent un jour, vont dans une boîte de pin, et au revoir, à la prochaine. Les chrétiens font partie d'un continuum éternel. Ils font partie d'un produit qui continuera dans l'éternité, comme des ondulations dans un étang éternel sans fin. Et vous et moi avons des vies qui résonneront dans les couloirs du ciel pour toujours et à jamais. N'est-ce pas une super promesse ?

Vous savez, quand je pense à cela, il me semble que notre vie ici-bas est assez insignifiante. Nous travaillons, pour accumuler des choses dans ce monde. Nous mourons, et tout est encore là. Dieu merci, il nous a promis qu'il y aura quelque chose qui va se répercuter tout au long de l'éternité. Chaque fois que je mène quelqu'un à Jésus-Christ, je pense aux conséquences éternelles. Je suis un chrétien aujourd'hui parce que quelqu'un était chrétien dans ma famille, et quelqu'un a conduit mon grand-père à Christ, et quelqu'un a conduit mon père à Christ, et ainsi de suite, mes enfants, et cetera. Je veux dire que la génération des chrétiens est fantastique. Et mes actes justes dans cette vie, bien qu'ils soient peu nombreux, affecteront quelqu'un d'autre, sa vie changera, et il parlera à quelqu’un d’autre qui, lui aussi, changera sa vie et cette chose continuera pour toujours.

J'ai reçu la lettre d'une dame cette semaine, qui dit : « Je veux juste vous dire une chose formidable qui vient d’arriver dans notre famille. J'ai donné une cassette à mon frère, et il a écouté cette cassette, et a ensuite incliné la tête tout seul et a invité Jésus-Christ dans sa vie, et il est venu me remercier. Il est tellement ravi et il veut plus de cassettes ; alors je veux juste dire merci. » Vous savez, cela me fait vraiment plaisir. Vous savez, je veux faire plus dans ce monde que de mourir, et dire : « Tout est fini. Qui était-il ? » Je ne veux pas juste être un marqueur dans un cimetière, parce que je crois que la vie est censée être plus que cela. Et ainsi Jésus-Christ dit : « En effet, vous allez avoir des fruits qui resteront. » Quelle promesse ! Faire partie d'un continuum éternel ! Qui se contenterait de moins ? Je ne peux pas imaginer des personnes qui veulent simplement faire du sur place et vivre comme des existentialistes aujourd'hui, passer leur vie sans laisser de marque, dire au revoir, mourir, et c'est la fin de tout, quand en connaissant Jésus-Christ, votre vie est envahie par un pouvoir divin qui vous permet de produire des fruits qui resteront pour toujours. Cela donne un sens à la vie.

Il y a une neuvième chose. C'est le seul négatif. Mais vous devez l'avoir, parce que cela doit rester réaliste. Et c'est la douleur de la persécution. Une chose à laquelle nous pouvons nous attendre c’est d'être persécuté. Vous ne pouvez pas être ce genre de personne vivant dans ce genre de monde sans avoir un peu de résistance. Jean 15 : 18, « Si le monde vous hait, sachez qu'il m'a haï avant vous. » Jésus dit : « Ne soyez pas si choqué. Vous allez sortir, vous allez sortir avec ce message, et vous allez être enthousiaste pour le dire à tout le monde, et tout à coup, vous allez réaliser qu'ils vous détestent. Mais ne soyez pas trop surpris. Après tout, ils me détestaient. » Et franchement, il n'y avait rien en lui à haïr, et il y a des choses en nous qui ne sont pas vraiment aimables. « Si vous étiez du monde » - verset 19 – « le monde aimerait ce qui est à lui; mais parce que vous n'êtes pas du monde, et que je vous ai choisis du milieu du monde, à cause de cela le monde vous hait. »

Maintenant, ce qu'il veut dire, c'est que le monde est le système diabolique de Satan. Et dès que vous avez été sauvé, vous avez été enlevé du système, n'est-ce pas ? « Nous avons vaincu le monde », dit Jean 5, « et qu'est-ce qui a vaincu le monde ? Notre foi ! » Ainsi, par la foi en Christ, nous sommes hors du monde, retirés du monde. Nous sommes à l'écart du monde, enlevés du monde. Nous ne sommes pas le monde, donc le monde ne nous accepte pas. Verset 20 : « Souvenez-vous de la parole que je vous ai dite: Le serviteur n'est pas plus grand que son maître. S'ils m'ont persécuté, ils vous persécuteront aussi; s'ils ont gardé ma parole, ils garderont aussi la vôtre. » Certains croiront ; la majorité persécutera.

« Mais ils vous feront toutes ces choses à cause de mon nom. » Ils ne sont pas vraiment contre vous. Ce n'est pas qu'ils vous détestent. C'est parce qu'ils me haïssent et me répugnent parce qu'ils ne connaissent pas celui qui m'a envoyé. « Si je n'étais pas venu et que je ne leur eusse point parlé, ils n'auraient pas de péché; mais maintenant ils n'ont aucune excuse de leur péché. » La chose qu'ils rejettent, vous voyez, la chose que le monde déteste est le message du péché. N'est-ce pas ? La raison pour laquelle ils rejettent Christ c’est parce qu'il vient et les démasque, et ils ne peuvent plus cacher leur péché. Ainsi ils nous détestent, et ainsi ils détestent le Christ. Au verset 23, « Celui qui me hait, hait aussi mon Père ». Ils haïssent tous ceux qui sont impliqués. « Si je n'avais pas fait parmi eux des œuvres que nul autre n'a faites, ils n'auraient pas de péché. » Vous voyez ? Ils n'auraient pas cette terrible révélation du péché s'ils n'avaient pas vu Christ. « Maintenant ils les ont vues, et ils ont haï et moi et mon Père. »

Au verset 25, Il dit : « Ils m'ont haï sans cause. » Chapitre 16, verset 1, dit : « Je vous ai dit ces choses, afin qu'elles ne soient pas pour vous une occasion de chute.» Ne soyez pas choqués et offensés quand ça arrive. « Ils vous excluront des synagogues. » Et ils l'ont fait, croyez-moi. Ils ont jeté les chrétiens hors de la synagogue. Nous trouvons cela même dans le Livre des Actes. « Même l'heure vient où quiconque vous fera mourir croira rendre un culte à Dieu. » Vous savez qui c'est ? C'est la prophétie d’un homme que je connais, Paul. Et il y en avait d'autres. « Et ils agiront ainsi, parce qu'ils n'ont connu ni le Père ni moi. »

« Préparez-vous », dit-il. « Je dois vous promettre cela aussi. Cela ne va pas être facile. Parce que vous allez être identifié avec moi, le monde qui me hait va vous haïr. » Nous ne pouvons tout simplement pas entrer dans le système, car le système nous rejette. Maintenant, cela ne veut pas dire que vous allez bouder dans un coin et essayez de montrer vos qualités expérientielles et désagréables qui correspondent à votre position. Cela ne veut pas dire que vous voulez être une personne désagréable, parce que vous voulez vous exalter dans cette situation. Vous voulez être aussi aimante, douce, gentille, réfléchie et généreuse que vous pouvez être au milieu du monde, comme était Jésus, et vous devriez vous assurer que s'ils vous haïssent, ce n'est pas qu'ils vous haïssent pour votre personnalité, mais plutôt pour la vérité que vous partagez. Toutes ces choses sont notre lot ; je dois m’y attendre. Je suis content, il nous a parlé de ce point, n'est-ce pas ? Parce que cela pourrait être un peu choquant si on ne s'y attendait pas.

Il y a un dixième et dernier point, et je vais vous le donner rapidement. La dernière chose qu'il nous a donnée c’est un gage de joie, et je dois vous le montrer. C'est tellement bon. Jean 15 : 11, « Je vous ai dit ces choses, afin que ma joie soit en vous. » - quelle joie? Ma joie – « et que votre joie soit parfaite. » Je vous ai listé tout cet héritage. Je veux dire que je vous ai donné toutes ces choses pour que vous soyez joyeux. Bien-aimés, je vous dirais que la raison pour laquelle je mets la joie en dernier, c’est que la joie est le résultat de tout ce qu'il a dit. Qua nd je pense à tout ce qu'il m'a laissé, je ne peux m'empêcher d'être joyeux. Et même si j'ai des problèmes dans la vie, je ne peux pas m'empêcher d'être joyeux, car je sais que lorsque les ennuis seront terminés, de grandes choses seront là. Regardez Jean 16 : 20. C'est encore une de mes déclarations préférées de notre Seigneur.

Il dit : « En vérité, en vérité, je vous le dis, vous pleurerez et vous vous lamenterez, et le monde se réjouira. » En d'autres termes, cela vous semblera un peu incongru, parce que le monde sera si heureux et fera la fête et vous allez pleurer dans un coin. « Vous serez dans la tristesse » - accrochez-vous – « mais votre tristesse se changera en joie. » J'aime cela. « Mais votre tristesse se changera en joie. » Maintenant, que veut-Ii dire par là ? Les gens disent : « Cela signifie que vous aurez des circonstances terribles et des choses douloureuses, et plus tard, le Seigneur vous apportera des choses joyeuses, et ils seront gentils, et alors vous en aurez encore des mauvaises, les circonstances, et puis… » - ce n'est pas ce que ça veut dire. Regardez le verset 21. L'illustration le rend plus clair.

« La femme, lorsqu'elle enfante » - c'est au moment de l'accouchement – « éprouve de la tristesse. » Ouais, il y a de la douleur, et il y a des pleurs et de l'angoisse. Et, bien sûr, à cette époque, ils n'avaient pas les petites choses sympas qui peuvent soulager la douleur, ce qu'ils font aujourd'hui, et la femme souffrait. « Mais, lorsqu'elle a donné le jour à l'enfant, elle ne se souvient plus de la souffrance à cause de la joie qu'elle a de ce qu'un homme est né dans le monde. » Et je dois ajouter que c’est aussi un sujet de joie quand « une femme » est née. Mais le but du verset c’est que le même événement qui cause la douleur provoque la joie. Comprenez-vous cela ? C'est une vérité très importante.

Jésus dit : « Dans l'accouchement, il y a une angoisse terrible, mais immédiatement il en résulte de la joie, et l'angoisse est oubliée. » Et ce que notre Seigneur nous promet c’est ceci. Vous allez avoir des circonstances douloureuses, mais ce sont de ces circonstances mêmes que viendra la plus grande joie. Rappelez-vous ce que nous avons appris dans 1 Corinthiens 10 : 13 ? « La sortie des épreuves c’est » - quoi ? – « à travers elles ». Et la lumière au bout du tunnel, c’est la joie. Il ne dit pas : « Oh, je vais vous donner des circonstances différentes et heureuses à la place de vos tristesses. » Il dit : « De cette tristesse viendra la joie - si vous croyez simplement et attendez. »

Quel héritage, bien-aimés ! Est-ce que vous le voyez ? La preuve de l'amour, l'espoir du ciel, le pouvoir, l'approvisionnement, le Saint-Esprit, la vérité, sa paix, son fruit, sa persécution, sa joie - toutes ces choses sont à nous. Je veux tout résumer avec cette pensée, une grande pensée. Savez-vous pourquoi toutes ces choses sont les nôtres? Est-ce que vous savez pourquoi ? Écoutez cela ! Parce qu'Il est à nous. Vous voulez entendre quelque chose d'excitant ? Quand Il est parti, Il n'est jamais vraiment parti. Vous dites : « Qu'entendez-vous par là ?» Regardez Jean 14 : 20, et nous terminerons avec cette pensée. Jean 14 : 20. Revenez au verset 18. « Je ne vous laisserai pas orphelins. » Quelle est la ligne suivante ? « Je viendrai à vous. Encore un peu de temps, et le monde ne me verra plus ; mais vous, vous me verrez. » Vous dites : « Qu’est-ce que cela veut dire ? »

« En ce jour-là, vous connaîtrez que je suis en mon Père, que vous êtes en moi, et que je suis » - où ? – « en vous. » Je vais m'en aller sous forme physique, mais je vais être à l’intérieur de vous sous forme spirituelle. C'est le but ! Au verset 23, Il dit la même chose. « Nous viendrons » - à la fin du verset – « à lui, et nous ferons notre demeure chez lui. » Écoutez, la raison pour laquelle tout l'héritage de Christ est à moi c’est parce que le Christ est à moi. Il est parti physiquement, mais il n'est jamais vraiment parti, et il habite à l’intérieur de chaque croyant avec sa propre présence merveilleuse. C'est pour vous si vous croyez. Je vous fais confiance. Prions.

Merci, Père, pour notre temps ce matin. Merci pour ta vérité, comment elle parle, comment elle pénètre dans notre cœur, comment elle nous incite à être reconnaissants. Je prie, Seigneur, que tu nous enseignes des choses pratiques pour appliquer ce que nous avons appris. Que nous te louions aussi pour les dons que tu donnes si librement. Nous n’avons jamais rien fait pour les mériter, c’est tout par la grâce. Les mots ne suffisent pas pour exprimer notre reconnaissance. Je prie aussi pour ceux qui n'ont jamais tendu la main pour prendre l'héritage de Jésus par la foi, afin que ton Esprit touche leur cœur et qu'ils le fassent aujourd'hui. Je prie au nom du Christ. Amen.

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