
Comme je vous l'ai mentionné ce matin, nous allons faire une petite pause dans notre étude des Béatitudes, parce que le Seigneur a vraiment insisté pour que je partage avec vous un message spécial de l’Épître aux Hébreux. Donc, si vous voulez regarder avec moi donc l’Épitre aux Hébreux, nous étudierons ensemble quelques passages. Maintenant, comme vous le savez, il y a quelques semaines maintenant, j'ai parlé sur le sujet, « examinez-vous pour voir si vous êtes dans la foi ». C'était un dimanche matin avant notre heure de communion, et j'étais très inquiet de voir que beaucoup de personnes dans l'Église de Grâce venaient écouter et croyaient peut-être d’une certaine façon, mais ils n'avaient jamais donné leur vie au Christ, et ils ne seraient donc pas parmi les élus le jour du jugement. Et je suis continuellement confronté à cette peur.
Je sais qu'il y a dans l'église du blé et de l'ivraie. Je sais qu'il y aura toujours du faux parmi les vrais. C'est tellement facile dans une église de notre taille avec des milliers de personnes de se cacher et de ne jamais vraiment être confronté à la réalité pour savoir si vous avez vraiment soumis votre vie au Christ ou non. Vous pouvez vous débrouiller avec la foule et vous déplacer avec tout le monde. Et mon cœur est très profondément préoccupé par la réalité que certains d'entre vous, des personnes très précieuses, pour qui Christ est mort, venez, vous écoutez, vous entendez des messages et peut-être même vous croyez qu'ils sont vrais, mais vous n'êtes jamais vraiment venu à Jésus-Christ. Pour une raison ou une autre, vous vous retenez.
Une dame m'a appelé au téléphone et a exprimé cette même chose. Elle a dit : « Je viens, mais je ne suis pas chrétienne. Mais je suis intéressée. » Et si j'ai entendu cela de la part de cette dame et reçu des lettres à cet effet…, et un homme m’a dit : « Je viens. Je ne crois pas à ce que tu dis, mais j'aime la façon dont tu le dis. » Si c'est vrai, avec les personnes qui me parlent, il y en a probablement d'autres qui le ressentent ou qui l'entendent, et pour une raison ou une autre, ne s’engagent jamais envers Christ. Ils sont juste assis sur le bord de la clôture. Ils se tiennent sur la balance. Et peut-être que si vous veniez à mesure que nous étudions l'Évangile de Matthieu, vous comprenez que Jésus a établi les normes pour faire partie de Son royaume.
Et vous savez maintenant qu'Il dit : « Pour être dans mon Royaume, vous devez être pauvre en esprit et pleurer sur le péché, vous devez être humble. Et vous devez avoir faim et soif de justice, être miséricordieux, avoir le cœur pur et être un artisan de paix. Et vous avez probablement entendu que lorsque vous remplissez ces conditions et que vous atteignez Dieu en Christ et que vous êtes rachetés, vous possédez le royaume. Vous devenez un destinataire de toutes les bénédictions de Dieu ... de toute la générosité de Dieu. Vous devenez un Fils de Dieu dans le sens le plus pur. Mais même si vous connaissez les qualifications et même si vous connaissez les conséquences et les bénédictions, peut-être que vous ne vous êtes toujours pas engagé envers Jésus-Christ. Et j'ose dire que c'est vrai partout dans le monde. Il y a des personnes qui savent, mais ils ne s’engagent jamais. Ils ne font jamais le pas. Pour une raison ou une autre, leur moment n'est pas venu. Ils le repoussent et le repoussent.
Regardez avec moi pendant une minute à Jean chapitre 12 avant d'examiner L’Epître aux Hébreux. Je veux que vous voyiez à quel point c'est dangereux de remettre au lendemain. Dans Jean chapitre 12 et au verset 32, notre Seigneur dit : « Et moi, quand j'aurai été élevé de la terre, j'attirerai tous les hommes à moi. En parlant ainsi, il indiquait de quelle mort il devait mourir. - La foule lui répondit : Nous avons appris par la loi que le Christ demeure éternellement ; comment donc dis-tu : Il faut que le Fils de l'homme soit élevé ? Qui est ce Fils de l'homme ? Jésus leur dit -» et écoutez « La lumière est encore pour un peu de temps au milieu de vous. Marchez, pendant que vous avez la lumière, afin que les ténèbres ne vous surprennent point : celui qui marche dans les ténèbres ne sait pas où il va. Pendant que vous avez la lumière, croyez en la lumière, afin que vous soyez des enfants de lumière. Jésus dit ces choses, puis il s'en alla, et se cacha loin d'eux ».
Quelle illustration ! Il dit : « Tu ferais mieux de croire pendant que tu peux croire.» Et ensuite, afin d’illustrer cela, Il est parti se cacher là où ils ne pourraient jamais le trouver afin qu'ils puissent comprendre ce que cela signifierait ne pas L'avoir aux alentours. Le verset 37 dit : « Malgré tant de miracles qu'il avait faits en leur présence, ils ne croyaient pas en lui, afin que s'accomplît la parole qu'Esaïe, le prophète, a prononcée : Seigneur, Qui a cru à notre prédication ? Et à qui le bras du Seigneur a-t-Il été révélé ? Aussi ne pouvaient-ils croire, parce qu'Ésaïe a dit encore : Il a aveuglé leurs yeux ; et il a endurci leur cœur, de peur qu'ils ne voient des yeux, qu'ils ne comprennent du cœur, qu'ils ne se convertissent, et que je ne les guérisse. Ésaïe dit ces choses, lorsqu'il vit sa gloire, et qu'il parla de lui. »
Maintenant, remarquez, Jésus dit : « Vous feriez mieux de croire tant que vous pouvez croire. Vous feriez mieux d'entrer dans la lumière tant que la lumière est disponible, car le temps viendra où il ne sera pas là. » Et alors Il a illustré que la prophétie d'Ésaïe s'est réalisée. Ils ne croyaient pas, donc ils ne pouvaient pas croire, et Dieu a fermé le jour de la grâce. C'est ce que dit Ésaïe. C'était le dernier appel de Jésus, d'ailleurs. Une dernière invitation dans l'Évangile de Jean. Le jour de la grâce passait, et au chapitre suivant, il rencontre Ses disciples la veille de Son jugement et finalement de Sa mort. C'est Sa dernière invitation. Il dit : « Je ne serai pas ici très longtemps. Vous feriez mieux d'agir alors que vous pouvez agir avant que vous ne soyez confirmé dans la souveraineté de Dieu dans votre incrédulité. »
Dans Jean, chapitre 8, Il dit ici la même chose au moins trois fois. Dans le verset ..., regardez le verset 12. « Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de vie. » C’est la première invitation. Il dit : « Si vous me suivez, vous marcherez dans la lumière. » Mais ensuite, Il dit au verset 21 : « Je m'en vais, et vous me chercherez, et vous mourrez dans votre péché; vous ne pouvez venir où je vais. » C'est vraiment la deuxième invitation. Parce que c'est un avertissement que s'ils n'acceptent pas la lumière pendant que la lumière est disponible, il y aura un jour où la lumière ne sera plus disponible. Au verset 24, il répète l'avertissement une troisième fois : « C'est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés; car si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés. » Vous voyez, Jésus a toujours étendu Son amour mais en leur disant qu'il y avait quand même une limite.
Revenons au chapitre 7 verset 33 : « Jésus dit : Je suis encore avec vous pour un peu de temps, puis je m'en vais vers celui qui m'a envoyé. Vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, et vous ne pouvez venir où je serai.» C'est la même idée. Vous savez, avant que Dieu ait envoyé le déluge dans Genèse, chapitre 6 au verset 3, Dieu a dit : «Mon esprit ne restera pas à toujours dans l’homme ». En d'autres termes, il arrive un moment où Dieu n'a plus de patience. Puis vint le déluge et le monde entier fut détruit. Dans le chapitre 63 d'Esaïe, nous le trouvons illustré aux versets 7 à 10. Le prophète Ésaïe dit : «Je publierai les grâces de l'Eternel, les louanges de l'Eternel, D'après tout ce que l'Eternel a fait pour nous ; je dirai sa grande bonté envers la maison d'Israël, qu'il a traitée selon ses compassions et la richesse de son amour. » Quel verset ! Il parle de l'amour bienveillant, de la louange, de la bonté et de la miséricorde de Dieu, « Il avait dit : Certainement ils sont mon peuple, des enfants qui ne seront pas infidèles ! Et il a été pour eux un sauveur. »
Quelle image de Dieu ! Il était si aimant. Il était si miséricordieux. Il était si gentil. Il était leur Sauveur. Et le verset 9, « Dans toutes leurs détresses ils n'ont pas été sans secours, et l'ange qui est devant sa face les a sauvés ; Il les a lui-même rachetés, dans son amour et sa miséricorde, et constamment il les a soutenus et portés, aux anciens jours. » Oh, quelle image ! Quel Sauveur aimant ! Mais le verset 10 vient comme un choc, comme un éclair à l'improviste pour briser la paix de la scène. « Mais ils ont été rebelles, ils ont attristé son esprit saint; et il est devenu leur ennemi, il a combattu contre eux. » Pouvez-vous croire ce genre de changement ? Dans un petit passage de trois versets ? Dieu est patient, Dieu est bon, Dieu est miséricordieux, Dieu est plein de patience, Dieu ne veut pas qu'aucun périsse. Mais la miséricorde de Dieu a des limites. Vous ferez mieux de venir à la lumière pendant que la lumière est disponible. C'est le message.
Maintenant, l’Epître aux Hébreux nous donne un aperçu graphique de cette merveilleuse vérité, cette merveilleuse invitation d'avertissement de Dieu. Et je veux que vous regardiez Hébreux et que nous regardions ce qu'il a à dire. Maintenant, l’Épître aux Hébreux est essentiellement écrite aux chrétiens, les juifs chrétiens. C'est pourquoi son titre est l’Épître aux Hébreux. Ils étaient des croyants juifs, mais ... maintenant écoutez ... des avertissements sont intercalés dans tout le livre des Hébreux, qui est écrit aux chrétiens juifs, des avertissements ; des avertissements pour confronter ces personnes ... maintenant regardez ... qui connaissent l'évangile, intellectuellement, qui comprennent l'appel du Salut mais ne font jamais l'engagement. D'accord. Alors que l'écrivain continue à écrire aux croyants de temps en temps, il s'arrête et il dit : « Maintenant, je sais que dans cette congrégation, certains d'entre vous savent que c'est la vérité, mais vous ne vous êtes jamais engagés. », et donc il y a ces avertissements.
En ce qui concerne les lecteurs de cette lettre aux Hébreux, ils étaient Juifs. Ils étaient intellectuellement convaincus que l'Évangile était vrai. Ils étaient en plus intellectuellement convaincus que Jésus était le Messie. Mais ils ne voulaient pas Lui soumettre leur vie. Ils ne faisaient pas ce simple acte de foi enfantin pour se jeter sur Sa grâce et Sa miséricorde. Ils ne voulaient pas venir à Christ. Ils avaient peur qu'ils soient ostracisés par leur communauté juive. Ils avaient peur d'être considérés comme des aliénés par leurs familles. Le prix à payer était trop élevé, et ils s’accrochaient donc à la clôture, craignant d'être persécutés, aliénés, ostracisés ou d’être obligés d’abandonner leur style de vie actuel.
Maintenant, peut-être que vous avez les mêmes sentiments quelque part. Vous connaissez la vérité. Vous savez que Jésus est le Christ, le Fils du Dieu vivant. Vous connaissez l'Évangile et vous croyez que c'est vrai, mais vous résistez à l'engagement personnel envers Christ parce que vous avez peur d'être considéré comme un aliéné par votre famille, vous avez peur d'être ostracisé par vos amis ou des personnes avec qui vous courez ou travaillez. Ou vous avez peur d’être persécuté et le prix est trop élevé. Ou peut-être que vous ne voulez tout simplement pas abandonner votre état de péché actuel et vous y restez accroché sachant que c'est vrai mais ne s’engageant pas. Si c'est le cas, alors l’Epître aux Hébreux va vous parler directement.
Regardons très brièvement les cinq passages d'avertissement et voyons ce qu'ils disent. Le chapitre 2 versets 1 à 4 est le premier. Chapitre 2 versets 1 à 4 : « C'est pourquoi, - » qu’est-ce que cela signifie ? Revenons au chapitre 1 qui parle de la majesté de Jésus-Christ, de la gloire de Jésus-Christ, de Celui qui est élevé pour être Celui de la majesté, la main droite de la majesté de Dieu, Celui qui est meilleur que les anges, Jésus-Christ Lui-même. Parce que nous avons appris certaines choses sur Jésus-Christ, parce que nous savons maintenant qui Il est, parce que nous savons maintenant comment Dieu l'a exalté, à cause de qui Il est dans Sa majesté, « C'est pourquoi nous devons d'autant plus nous attacher aux choses que nous avons entendues, de peur que nous ne soyons », quoi ? – « emportés loin d'elles. »
Écoutez, si vous savez qu'Il est qui Il est et si vous avez entendu le message, alors l'écrivain dit : « Vous feriez mieux de prêter attention à ce que vous avez entendu de peur que nous ne soyons emportés loin d’elles. » Je pense toujours à l'homme qui avait réduit toute sa fortune à un diamant qu'il mettait dans sa poche pour l'emporter en Europe. Et pendant qu'il était à bord du navire, il le jetait en l'air, le navire a fait une embardée et il est passé par-dessus bord dans la mer. De peur nous ne soyons emportés ... « Car - », le verset 2 dit – « si la parole annoncée par des anges a eu son effet, et si toute transgression et toute désobéissance a reçu une juste rétribution ». Maintenant, quelle était la parole annoncée par les anges ? C'était la loi de l'Ancien Testament. C'était la loi de Dieu donnée par Dieu au Mont Sinaï. Cette loi a été administrée par des anges. Donc, si la loi de l'Ancien Testament, si la loi mosaïque, si les dix commandements annoncés par les anges étaient fermes ou contraignants pour les hommes et lors de chaque transgression et désobéissance de la loi mosaïque, ils recevaient une juste punition... En d'autres termes, si Dieu a donné la Loi mosaïque et exigé l'obéissance et le jugement absolus sur tous ceux qui ont désobéi, comment échapperons-nous si nous négligeons un si grand Salut, celui qui est dans la Nouvelle Alliance en Jésus-Christ ? Est-ce que vous voyez ?
Si les personnes sous l'économie mosaïque n'ont jamais échappé au jugement de Dieu, qu'est-ce qui vous fait penser que vous pourriez y échapper ? Si les hommes qui vivaient dans l'Ancien Testament avant Christ n'échappaient pas au jugement de Dieu et que Dieu était plus tolérant à l'époque, qu'est-ce qui vous fait penser que vous échapperiez si vous rejetez le grand Salut en Jésus-Christ ? C'est ce qu'il dit. Et le nous ici, « nous devons donner » ... Il utilise le mot « nous », et il l'utilise de nouveau au verset 3. « Comment échapperons-nous... ». L'idée, cette pluralité est juive dans le contexte, c'est national – « Si nous qui sommes d'Israël, qui avons entendu l'évangile, si nous savons que ceux sous la vieille économie n'ont pas échappé quand ils ont nié la Parole de Dieu, qu’est-ce qui nous fait penser que nous, nous en tirerons si nous nions la Parole de Dieu ? » C'est un passage puissant. Un certain jugement résultera. Il est dit au verset 2 : « toute transgression et toute désobéissance a reçu une juste rétribution. » Et c'est une récompense négative. Pensez-vous que vous pouvez tourner le dos à Jésus-Christ ? Pensez-vous que vous pouvez négliger ce si grand Salut qu'Il offre et toujours y échapper ? Non !. Ils ne pouvaient même pas y échapper sous l'ancienne alliance, donc encore moins sous la Nouvelle.
Regardons le deuxième avertissement dans Hébreux chapitres 5 et 6. Et nous n'avons pas le temps de parler de tout cela en détail, mais regardons juste le chapitre 6 (nous allons sauter une partie de la partie précédente). Mais Il leur dit au verset 12 et c’est un avertissement, « Vous, en effet, qui depuis longtemps devriez être des maîtres, vous avez encore besoin qu'on vous enseigne les premiers rudiments des oracles de Dieu ». En passant, les oracles de Dieu sont les lois de l'Ancien Testament. En d'autres termes, il dit :« Vous, vous devez être des enseignants de l'Évangile, vous avez suffisamment d'informations pour être des enseignants de l'Évangile. Mais au lieu de cela quelqu'un a besoin de vous enseigner à nouveau les lois de l'Ancien Testament. Vous êtes primitif alors que vous devriez être des confirmés. Vous n'avez pas répondu à ce que vous avez entendu. » Maintenant, allez au verset 4, et Il les avertit, « C'est impossible », voyez-vous ce mot ? « Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont goûté le don céleste, qui ont eu part au Saint-Esprit, qui ont goûté la bonne parole de Dieu et les puissances du siècle à venir, et qui sont tombés, soient encore renouvelés et amenés à la repentance, puisqu'ils crucifient pour leur part le Fils de Dieu et l'exposent à l'ignominie. »
Maintenant, écoutez, c'est encore un avertissement, ce n'est pas aux chrétiens et ce n'est pas aux non-chrétiens fieffés et embaumés. C'est à la gardienne de la clôture. C'est à la personne qui dit : « Je sais que c'est vrai mais je n'ai jamais fait le pas de l'engagement. » Et ce qu'il dit est ceci : Regardez si vous avez été instruit, en d'autres termes, l'illumination est une compréhension mentale. Si vous avez goûté le cadeau céleste, et qui est le cadeau céleste ? C’est l'Esprit de Dieu. Et comment ont-ils goûté l'Esprit de Dieu ? Eh bien, l'Évangile qui leur avait été prêché a été confirmé par des signes, des prodiges et des dons de l'Esprit, comme il est dit au chapitre 2, versets 3 et 4. Ainsi, ils avaient eu l'Esprit de Dieu qui travaillait au milieu d'eux. Ils en avaient goûté. Ils n'avaient pas vraiment mangé et partagé ; ils en avaient goûté. Et dans un sens complet, ils devaient participer. Mais ils étaient en quelque sorte des participants partiels et des dégustateurs partiels. Ils ont même goûté à la Parole de Dieu. Ils ont goûté la puissance de l'âge à venir.
Vous voyez les miracles qui ont été faits dans l'église primitive et les miracles qui ont été accomplis au temps apostolique étaient comme un précurseur des miracles à faire dans le royaume. Et les miracles, bien sûr, que Christ fera quand Il reviendra. Alors Il leur dit : « Vous avez eu votre esprit instruit, vous avez eu un aperçu, et vous avez participé à ce que l'Esprit a fait. » Vous savez, c’était le cas de beaucoup de Juifs... le Saint-Esprit était le pouvoir derrière le Christ qui a nourri les 5000 personnes. Et tous ceux qui mangeaient le poisson et le pain ce jour-là, quand Jésus les a nourris, ont vu ce que l'Esprit avait fait. Ils avaient partagé Ses miracles, ils avaient partagé Son enseignement, ils avaient pris part à Sa parole, mais ils ne l'avaient jamais fait leur. Et ce qu'Il dit est « Si vous avez eu toute cette révélation, vous avez vécu ces miracles, vous avez entendu, vous l'avez vu, le pouvoir a été manifesté, mais vous Lui tournez le dos et vous tombez, il est impossible de vous sauver. Le point est que si vous rejetez le Christ quand vous avez une vraie révélation, vous êtes sans espoir. Car qu’est-ce que Dieu pourrait faire d’autre ?
En passant, il n’y a aucun de ces termes dans le verset 4 ou 5, il n’y a pas le terme instruit, ni goûté le don céleste, ni participants du Saint-Esprit, ni goûté la bonne Parole ou les pouvoirs de l'âge à venir, aucun de ces termes n’est jamais utilisé nulle part, à n'importe quel moment dans la Bible pour le salut. Ce ne sont pas des termes employés pour le salut. Ce sont des termes qui parlent de l'exposition à l'Évangile, de l'exposition à la puissance de Dieu et à l'exposition à la vie du Christ. Et ils en avaient assez vu et assez entendu, et si toutes ces informations ne suffisaient pas, ils ne pourraient jamais être sauvés. Parce que, bien-aimés, écoutez, si vous n'acceptez pas Jésus-Christ quand vous avez la pleine lumière, vous ne L’accepterez jamais. Parce qu'Il ne peut pas faire plus que cela. Et donc c'est un avertissement sévère, un certain jugement.
Puis Il donne une illustration dans les versets 7 et 8, « Lorsqu’une terre », il dit, « est abreuvée par la pluie qui tombe souvent sur elle, elle produit une herbe utile à ceux pour qui elle est cultivée ». En d'autres termes, la récolte est produite et c'est une bénédiction de Dieu quand la pluie tombe. Et vous savez quelle image c’est ? C'est l'image d'un cœur prêt et la pluie de l'évangile tombe. Et le cœur est prompte à prendre la pluie et il produit le fruit du salut. Mais le verset 8 dit : « Mais, si elle produit des épines et des chardons, elle est réprouvée et près d'être maudite, et on finit par y mettre le feu. » La pluie représente la vérité spirituelle. La pluie, c’est l'évangile. La pluie, c’est l'illumination spirituelle. Une parcelle de terre produit de bonnes herbes ; une autre parcelle produit des épines et les épines sont le fruit de l'effort religieux. Vous voyez, c'est un système de justice par les œuvres. Ils ne produisent rien, ils produisent la mauvaise chose, vous voyez ? Ils sont très occupés, très productifs mais ce ne sont pas des herbes à manger ; ce sont des épines, et tout ce que vous voulez faire avec des épines, c'est de rester en dehors de leur chemin. Ils sont inutiles. L'effort personnel religieux est maudit.
Et ainsi, Il dit à ces Juifs, écoutez : « Vous pouvez rester dans votre judaïsme et vous pouvez rester dans votre propre justice et quand tout est dit et fait, vous aurez des épines. Ou vous pouvez prendre la pluie de cette illumination, vous pouvez écouter l'Evangile et vous pouvez le croire dans votre cœur et le laisser pénétrer le sol de votre vie et produire la chose que Dieu veut qu'elle produise. Le choix vous appartient. C'est un autre avertissement.
Laissez-moi vous signaler un troisième avertissement au Chapitre 10. Le troisième avertissement est dans le dixième chapitre au verset 26. Et voici la même pensée. Il va encore toucher ces gardiens de la barrière, ces personnes qui continuent de venir mais ne s'engagent jamais, ces personnes qui entendent tout mais ne font jamais rien à ce sujet, ces personnes qui disent que tout est merveilleux, je le crois et je vais le faire un jour, je vais le faire ... Il les frappe à nouveau. Et Il dit : « Car, si nous péchons volontairement - » et le péché est celui du rejet. Si vous rejetez volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, vous n'avez pas reçu le salut ; vous avez reçu la connaissance intellectuelle du salut. Vous savez ce que c'est. Vous comprenez. Et si vous le rejetez volontairement, alors il n'y a plus de sacrifice pour le péché. Il dit au Juif : « Tu peux tuer tous les agneaux que tu veux ; tu peux abattre toutes les chèvres que tu veux; tu peux tuer tous les bœufs que tu veux ; tu peux tuer toutes les tourterelles que tu veux, mais il n'y a plus de sacrifice pour le péché si vous rejetez Jésus-Christ. Il n'y a rien. Si vous connaissez la vérité et que vous tournez le dos à Christ, vous ne faites rien à propos de Christ. Il n'y a pas d'autre chose que vous puissiez faire. Il n'y a pas d'autre sacrifice.
Et vous voyez, ces hommes juifs ne voulaient pas venir à Christ, ils avaient peur d'être excommuniés, vous savez, mis hors de la synagogue, perdant tous leurs amis et toute leur famille. Et ainsi ils continuaient encore et encore dans leur judaïsme et ils ne venaient pas à Christ, et ils continuaient leurs sacrifices. Et Il dit : « C'est ridicule. Si vous tournez le dos à Jésus-Christ, si vous péchez volontairement après la connaissance de la vérité, vous êtes damnés parce que rien ne peut faire pour vous ce que seul le Christ peut faire. » Et ce qui arrivera, le verset 27 dit : « Mais une attente terrible du jugement et l'ardeur d'un feu qui dévorera les rebelles. » En d'autres termes, Dieu va descendre pour juger.
Maintenant, vous dites, vous savez, je pense que Dieu sera probablement plus tolérant pour les personnes qui en savaient le plus, qui sont venus à l'église le plus et ont eu le plus d'informations. Vous voulez savoir la vérité ? Il sera plus dur avec eux. Moins vous en savez, mieux ce sera pour vous dans l'éternité. Et si vous vous êtes exposé, par la grâce de Dieu, à la plénitude de la vérité de Dieu, vous êtes le plus responsable de tous. Et le jugement ardent vous attend, si vous rejetez Jésus-Christ. Et c'est exactement ce qu'Il dit, verset 28 et 29, « Celui qui a violé la loi de Moïse meurt sans miséricorde, sur la déposition de deux ou de trois témoins ».
Écoutez, si vous méprisez la loi mosaïque, la loi qui a été donnée sur la terre, la loi qui est venue du mont Sinaï, si vous avez méprisé les tables de pierre, vous avez été abattu. Pourquoi ? « De quel pire châtiment pensez-vous que sera jugé digne celui qui aura foulé aux pieds le Fils de Dieu ». Si vous avez violé la loi de Moïse et que vous êtes mort, que pensez-vous qu'il arrivera si vous violez la loi du Fils de Dieu ? C'est le but. Si vous avez « tenu pour profane le sang de l'alliance, par lequel il a été sanctifié, et qui aura outragé l'Esprit de la grâce ? » Vous voyez, désobéir à la loi, c'était mourir. Traiter cette alliance avec irrespect, c'était mourir. Violer cette loi, c'était mourir. Oh combien plus sévère est la punition pour celui qui tourne le dos au Fils de Dieu et compte le sang de Son alliance comme une chose impie malgré l'Esprit de la grâce. « Car nous connaissons celui qui a dit : A moi la vengeance, à moi la rétribution ! Et encore : Le Seigneur jugera son peuple. » Et ensuite le verset 31, « C'est une chose terrible que de tomber entre les mains du Dieu vivant. »
C'est quelque chose d’assez fort. C'est un avertissement que si vous connaissez la vérité et que vous lui tournez le dos, « a moi la vengeance, à moi la rétribution. » C'est une chose terrible de tomber entre les mains du Dieu vivant. » Un problème très sérieux. Et ainsi, Il met encore en garde que si vous connaissez la vérité et que vous ne la recevez pas, il y a une responsabilité plus profonde et plus grande parce que vous êtes en train de piétiner sous vos pieds le Fils de Dieu. Pouvez-vous imaginer cela ? Vous dites : « Je ne ferais jamais cela, je n'ai pas encore pris ma décision. » Non, ce n'est pas ainsi que la Bible l'envisage. Vous pouvez le voir comme le fait de ne pas prendre votre décision. Dieu le voit comme si vous piétiniez sous vos pieds le Fils de Dieu.
Il y a un quatrième avertissement dans Hébreux, chapitre 12, verset 25. Et il résume essentiellement la même pensée; c'est la même chose. Il dit : « Gardez-vous de refuser d'entendre Celui qui parle ». A propos, c'est Dieu. Il est l'orateur principal dans ce chapitre. Vous ferez mieux de ne pas refuser Dieu. Écoutez, « car si ceux-là n'ont pas échappé qui refusèrent d'entendre celui qui publiait les oracles sur la terre, combien moins échapperons-nous, si nous nous détournons de Celui qui parle du haut des cieux, Lui, dont la voix alors ébranla la terre, et qui maintenant a fait cette promesse : Une fois encore j'ébranlerai non seulement la terre, mais aussi le ciel. » Vous savez quand Dieu a parlé de la terre ? Au moment de donner la loi. Et Dieu a poussé Sa voix du Mont Sinaï, tout droit sur la terre. Dieu a parlé de la terre et les montagnes ont été secouées, ont bougé et ont chancelé et Il dit : « si ceux-là n'ont pas échappé qui refusèrent d'entendre Celui qui publiait les oracles sur la terre, combien moins échapperons-nous, si nous nous détournons de Celui qui parle du haut des cieux » Vous dites, « Qui est-ce ? » C'est Dieu ! Dieu a parlé du ciel plusieurs fois, et la voix est venue du ciel en disant : c'est mon Fils bien-aimé, écoutez-Le. Voyez-vous cela ?
Dans l'Ancien Testament, Dieu parlait d'une montagne terrestre en disant : «Obéissez à cette loi. » Dans le Nouveau Testament, Dieu a parlé du ciel et a dit : «Écoutez Mon Fils. » Et s'ils ne s'échappaient pas quand ils refusaient la voix de Dieu sur la terre, qu'est-ce qui vous fait penser que vous, vous échapperez si vous refusez le Dieu qui a parlé du ciel ? Il résume cela au verset 29 en disant : « Car notre Dieu est aussi un feu dévorant. » Il est un feu dévorant et un jour Il ébranlera non seulement une montagne, mais Il partagera les cieux dans Son jugement. Quel avertissement !
Un dernier avertissement que je veux partager avec vous est dans les chapitres 3 et 4. Maintenant, je veux que vous soyez attentifs car nous allons traiter ce sujet assez rapidement. C'est le plus long avertissement du livre, alors je vais juste lire quelques versets et faire quelques commentaires. Chapitre 3, verset 7, là encore le Saint-Esprit s'arrête et dit à la personne assise dans la congrégation : « Vous qui connaissez la vérité, vous qui avez tout entendu, vous qui avez tout reçu, vous qui voulez être religieux, et vous qui savez que c'est la vérité, s'il vous plaît, tant que la lumière est encore disponible avant qu'il ne soit trop tard, avant que la grâce de Dieu prenne fin, avant que la miséricorde de Dieu s'épuise, répondez « oui » à Jésus-Christ. Regardez le verset 7 : « Pourquoi - » Et puis il y a une parenthèse jusqu'à la fin du verset 11 – « comme le Saint-Esprit le dit aujourd'hui, si vous entendez Sa voix, ne vous abstenez pas. » Voyez-vous cela ? Aujourd'hui, Il le dit. On dirait Paul dans II Corinthiens 6 : 2, « Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut. »
Aujourd'hui, Il le dit. C'est maintenant, ici et maintenant. Je pense toujours à D.L. Moody, la nuit où il a prêché à Chicago et a dit, « Je veux que vous rentriez à la maison ce soir et réfléchissiez à ce que j'ai dit et que vous reveniez demain soir pour prendre une décision pour Christ. » Et cette nuit un feu a éclaté dans Chicago et une grande partie de son auditoire est mort. Il a dit : « Je n'ai plus jamais parlé de demain à personne. » Aujourd'hui, si vous entendez Sa voix, ne durcissez pas vos cœurs. Et puis Il donne une illustration, « Comme dans la tentation », ou la provocation. Qu’est-ce que c'était ? Au jour de l’épreuve dans le désert, il dit : « Je veux vous donner une illustration. Le peuple avait endurci leur cœur ; il y avait un peuple qui vivait un jour d’épreuves, qui vivait un temps de tests, un temps dans le désert. Et au lieu de me dire oui et au lieu de répondre, au lieu d'entendre Ma voix, ils ont endurci leur cœur. Quand était-ce ? Verset 9, « Où vos pères me tentèrent pour m'éprouver, et ils virent mes œuvres pendant quarante ans. » Maintenant nous savons où nous sommes. Nous avons parlé du désert dans le verset 8, et les quarante ans dans le verset 9. Ce sont les quarante années d'Israël dans le désert.
Et dans le verset 10, Il dit : « Aussi je fus irrité contre cette génération, et je dis : Ils ont toujours un cœur qui s'égare. Ils n'ont pas connu mes voies. » « Je jurai donc dans ma colère : Ils n'entreront pas dans mon repos ! » Le mot « reste » signifie Canaan. Ces personnes n’iront pas à Canaan. Et c'est ce qui est arrivé, n'est-ce pas ? Qu'est-il arrivé à toute la génération dans le désert ? Ils sont tous morts, n'est-ce pas ? Dieu a juré : « Ils n'entreront pas dans Mon repos » Et chaque personne de cette génération est mort dans le désert et n'est jamais entrée dans la terre promise. Et ainsi Il dit, verset 12, « Prenez garde, frères, que quelqu'un de vous n'ait un cœur mauvais et incrédule, au point de se détourner du Dieu vivant. » Vous feriez mieux de regarder votre propre vie et de vous assurer que vous ne faites pas la même chose. Ici, Dieu est prêt à vous conduire dans Son repos ; Dieu est prêt à vous conduire dans Son royaume. Dieu est prêt à vous conduire au salut, mais vous endurcissez votre cœur et vous êtes pris dans le mauvais acte d'incrédulité, en refusant le Dieu vivant. « Oh, ne laissez pas cela vous arriver », dit-il, « comme c’est arrivé aux Israélites dans le désert ».
Vous voyez, il y avait un jour où la patience de Dieu s'épuisait. Il a été patient pendant un moment et ensuite il a dit : « Cela suffit. » Et ils sont morts dans le désert et ne sont jamais arrivés à la terre promise qui devait être leur repos. Quatre cents ans d'esclavage, quarante ans d'errance ! Comme ils ont désiré Canaan, la terre de lait et de miel et ils ne sont jamais arrivés jusque-là ! Ils sont morts dans le désert à cause de l'incrédulité. Ils n'ont pas cru Dieu. C'est si simple. Et je vais vous montrer pourquoi dans un instant. Mais d’abord, Il dit au verset 13 : « Mais exhortez-vous les uns les autres chaque jour ». C'est pourquoi je fais ce message. Exhortez les personnes chaque jour et dites-leur aujourd'hui, de peur qu'aujourd'hui quelqu’un parmi vous soit endurci par la tromperie du péché. C'est aujourd'hui le jour propice. Ne remettez pas à un autre jour. Si vous rejetez le Christ aujourd'hui, ce sera plus facile demain. Si c'est plus facile demain, ce sera encore plus facile le lendemain, alors cela va continuer et vous vous endurcirez.
Car le verset 14 dit : « Car nous sommes devenus participants de Christ, pourvu que nous retenions fermement jusqu'à la fin l'assurance que nous avions au commencement. » C'est la preuve que nous sommes vraiment rachetés. Et alors Il dit : « Aujourd'hui, si vous entendez Sa voix, » et tout cela est cité dans le Psaume 95 – « Aujourd'hui, si vous entendez Sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs comme dans la tentation du désert ou de l'épreuve, car qui, après avoir entendu, a provoqué : tout ce qui est sorti d'Egypte n'est-il pas venu de Moïse ? Mais avec qui a-t-il été affligé quarante ans ? N'était-ce pas avec ceux qui avaient péché, dont les cadavres tombaient dans le désert, et à qui jurait-Il qu'ils n'entreraient pas dans Son repos, à ceux qui ne croyaient pas ? Verset 19, « Aussi voyons-nous qu'ils ne purent y entrer à cause de -» quoi ? – « leur Incrédulité. » Et l'incrédulité est la dernière raison pour laquelle vous ne venez pas à Christ.
Vous ne croyez pas. Vous ne croyez pas assez. Vous ne croyez pas que vous pouvez vraiment transformer votre vie. Vous ne croyez pas que cela en vaille la peine. Vous ne croyez pas que vous pouvez transformer votre vie en ce qu'elle devrait être. Vous voulez vous accrocher à ce que vous avez. Vous ne voulez pas vous jeter par la foi en Lui. Vous voulez protéger votre réputation, votre profession ; vous voulez protéger vos relations familiales. Vous ne voulez pas être persécuté. Vous n'êtes pas prêt à faire un pas de foi en donnant votre vie à Jésus, et ainsi, à cause de l'incrédulité, vous mourrez dans le désert et votre carcasse tombera là, et vous n'entrerez jamais dans le repos de Dieu. C'est une illustration frappante, n'est-ce pas ? C’est vivant ! Pouvez-vous imaginer à quel point il était frappant de voir toutes les carcasses de deux millions d'enfants d'Israël dans tout le désert ? C’est énorme ! Ils sont morts là à cause de l'incrédulité. Ils ne sont jamais entrés dans Son repos. Maintenant, tout cela est une image de ce que l'écrivain des Hébreux veut dire au chapitre 4, et je veux que vous le regardiez avec moi. Proverbes 29 : 1 dit : « Un homme qui mérite d'être repris, et qui raidit le cou, sera brisé subitement et sans remède. »
Maintenant écoutez, Dieu offre le repos aux hommes. Il est disponible. Et nous entrons dans le repos de Dieu par la foi. Je crois que le reste dans le texte ici parle du salut. Je vais vous montrer au fur et à mesure, la clarté de ce passage. Je crois que c'est le salut. Et nous avons étudié le Sermon sur la montagne et nous avons vu que le chemin est étroit, n'est-ce pas ? Peu le trouve. C'est un chemin difficile et étroit, mais c'est merveilleux de réaliser que Dieu l'appelle aussi un repos. N'est-ce pas génial ? Vous dites: « Comment pouvez-vous les assimiler, une voie dure, étroite et comprimée avec un repos ? En fait, c'est si dur et si étroit que vous ne pouvez pas le faire, et ainsi vous vous donnez à Jésus. Vous vous reposez en Lui et Il le fait pour vous. Vous voyez, c'est le repos. Et ainsi, Il dit : « Je veux que vous entriez dans Mon repos. » Ce n'est pas un système d’œuvres. Vous y entrez comment ? En croyant, tout comme vous êtes restés à l'écart en ne croyant pas. Ce n'est pas ce que vous faites ou ne faites pas, c'est ce que vous croyez ou ne croyez pas.
Maintenant, je veux que vous compreniez cela en regardant le chapitre 4. Je veux que vous voyiez, tout d'abord, la disponibilité du repos. Je veux que vous entendiez l'invitation qu'Il donne aux personnes assises dans le ... juste sur la clôture. Écoutez, verset 1, « Craignons donc », et encore une fois c'est le peuple de la congrégation juive à qui Il s'adresse et je l'utilise pour parler de vous. « Craignons donc, - » Tu ferais mieux de craindre – « tandis que la promesse d'entrer dans son repos subsiste encore, qu'aucun de vous ne paraisse être venu trop tard » Je veux dire, ce qu'Il dit c’est, « N'y a-t-il pas de peur de savoir que Dieu nous a donné la promesse du repos, mais que nous n'avons pas réussi à le faire ?
Pouvez-vous imaginer que vous êtes un de ces enfants d'Israël vivant dans l'esclavage de l'Egypte, et comment vous êtes opprimé et poussé comme un esclave d'une chose à l'autre en essayant de faire des briques sans paille, et vous êtes battu, maltraité, meurtri. Et pendant des années et des années, votre famille a vécu cela, siècle après siècle après siècle. Et enfin Dieu envoie un libérateur, un puissant libérateur au nom de Moïse. Moïse avait une vie disponible et il l'a donnée à Dieu et Dieu l'a conduit à libérer ces hommes de l’esclavage. Et pouvez-vous imaginer comment la Mer Rouge s'est fendue et ils ont marché sur la terre sèche, se sont retournés et ont vu l'armée de Pharaon se noyer ? Et ils continuèrent, se réjouissant, prêts à voir ce que Dieu allait leur présenter, le pays de Canaan, où le lait et le miel coulaient, et ils ne l'ont jamais vu, vous voyez. Ils sont morts, des carcasses éparpillées dans le désert.
Et Il dit : « Vous feriez mieux de craindre que Dieu ne présente devant vous le même genre de promesse, le même genre de Canaan, le même genre de terre de lait et de miel, mais vous n'y arriverez jamais. Même si, dans un sens vous avez échappé, à l’esclavage. C'est comme Pierre disait. « Vous avez échappé aux corruptions du monde, mais vous n'entrerez jamais dans le royaume de Dieu », vous voyez ? Vous avez la réforme, pas la régénération. Il y a beaucoup de personnes qui veulent Jésus comme Sauveur, ils veulent un libérateur qui les délivrera de l’esclavage. Ils ne veulent pas être obligés de faire confiance à un Seigneur pour les conduire en Canaan, vous voyez. Et vous savez ce qui arrive aux hommes qui ne veulent pas d'un Sauveur, ils meurent dans le désert, ils ne connaissent jamais Dieu. Il est le Sauveur et le Seigneur.
Et ainsi Il dit : « Il nous reste le repos », au verset 1. Vous savez, c'était juste une image. Canaan était une image. Il y a encore un repos. Il dit à ces Juifs qu’il n'est pas trop tard. Dieu a un autre repos. Pas de repos à Canaan mais un repos spirituel et c'est le Salut. Et il est toujours disponible et il est toujours là. Quelle tragédie si vous deviez manquer cela, comme vos ancêtres qui n’ont jamais vu le Canaan. Le repos dont il parle, c’est le salut, donc un repos qui est toujours disponible. Dieu a étendu Son amour à vous. Dieu a tendu les bras et dit qu'il y a un repos pour vous. Un repos ! Reposez-vous de votre activité pharisaïque. Reposez-vous de vos peurs. Reposez-vous de vos angoisses. Reposez-vous de vos frustrations. Reposez-vous de la culpabilité du péché. Du repos ! Et il est disponible. Et Jésus a dit : « Celui qui vient à moi, je ne le ferai pas », quoi ? « Chasser ». Il est disponible pour tous ceux qui viennent. « Quiconque le veut, laissez-Le venir. » C'est un repos.
Mais, vous savez, vous pouvez le savoir, croire tout cela et vous asseoir ici, l'écouter et ne pas y arriver, votre carcasse mourra dans le désert de l'incrédulité et vous n'entrerez jamais dans la terre promise. C'est comme cela que sont beaucoup de personnes. Ils veulent un sauveur pour les sortir de la servitude. Ils veulent un sauveur pour les délivrer de la servitude. Mais ils ne veulent pas d'un Seigneur auquel ils doivent confier leur vie. Regardez la base, versets 2 et les suivants. Vous dites, « Comment faire pour se reposer ? » C’est très simple. « Pour nous, l'Évangile a été prêché aussi bien qu'à eux - » la bonne nouvelle leur a été annoncée – « mais la parole prêchée ne leur a pas profité parce qu'elle n'était pas mélangée avec - » quoi ? – « la foi. Vous savez, peu importe ce que Dieu dit si vous ne le croyez pas ? Vous savez ce que Dieu a dit à ces personnes ? Il a dit : « je vais vous emmener jusqu’à cette terre, je vais vous emmener jusqu’à cette terre ; je vais mettre cette terre à vos pieds ; je vais vous donner cette terre de haut en bas, de Dan à Beersheba ; Je vais vous donner cette terre de l'Euphrate à la Méditerranée. C'est votre terre. Je vous l’ai donné. C'est mon cadeau pour vous, votre terre. » Il a tout exposé.
Et vous savez, dans Nombres, chapitre 14, ils sont arrivés au pays et Josué a dit : « Allons vérifier. » Alors il a choisi douze hommes et il a dit : « Très bien, vous entrez et vous découvrez la terre. Douze hommes sont entrés et dix hommes sont sortis en disant: « Josué, nous n'avons jamais vu de si grandes personnes dans nos vies. Ce sont des géants dans le pays et nous sommes comme des sauterelles. Ils vont marcher sur nous, Moïse. Nous ne pourrons pas gagner. ». Josué et Caleb sont sortis et ils ont dit : « C'est bon. Nous pouvons le faire. Nous pouvons le gérer. Dieu est de notre côté, il n’y a pas de problème du tout. » Et bien sûr, en qui le peuple a-t-il cru ? Ils ont cru les dix espions, n'est-ce pas ? Ils ont cru les dix plutôt que les deux. Et vous savez ce qu'il s'est passé ? Parce qu'ils n'ont pas cru Dieu, ils sont morts dans le désert. Dieu leur a donné toutes les informations. Dieu leur a tout dit à ce sujet. Dieu leur a montré le repos, mais parce qu'ils ne croyaient pas, ils étaient condamnés à errer pendant quarante ans et mourir ensuite, vous voyez. Vous savez, la seule raison pour laquelle ils devaient tourner en rond dans le désert était pour qu’ils meurent tous. Leurs carcasses sont tombées dans le désert parce qu'elles n'y croyaient pas.
Ils étaient prêts à être sauvés d'Egypte. Ils voulaient un Sauveur, ils n'étaient pas prêts à obéir dans la foi et avoir un Seigneur. Et que dit-Il ? Regardez, il parle de la disponibilité du repos, qui est offert. La base du repos - vous devez entendre l'évangile et le mélanger avec quoi ? La foi ! Vous devez croire. Chaque prédicateur dans le monde pourrait prêcher jusqu'à sa mort. Jésus lui-même pourrait être ici et vous prêcher l'Évangile. Vous pourriez le lire ; vous pourriez l'entendre jusqu'à votre mort. Mais si vous ne croyez jamais avec votre cœur et mettez votre vie entre les mains de Dieu, vous mourrez sans Dieu. Je ne sais pas combien de temps il vous reste, franchement. « La vie est une vapeur qui apparaît pendant un petit moment et s'évanouit », dit Jacques. Je ne sais pas combien de temps vous avez. Je ne sais pas combien de jours vous vivrez. Je ne sais pas combien de temps la lumière sera disponible. Je ne sais pas combien de temps cela prendra avant que vous n’ayez endurci votre cœur trop de fois et que Dieu cesse de vous appeler et ce sera fini et vous serez un apostat. Je ne le sais pas.
Mais Il dit, si ce n'est pas mélangé avec la foi cela ne marchera pas. Verset 3, « Pour nous qui avons cru, nous entrons dans le repos. » C'est seulement ceux qui croient qui entrent. Le suivant dit : « Je jurai dans ma colère : Ils n'entreront pas -» c'est une meilleure traduction. « Ils n'entreront pas dans mon repos ! Il dit cela, quoique ses œuvres eussent été achevées depuis la création du monde. » Vous savez, Dieu, depuis le commencement du monde, créait un paradis. C'est vrai ! Verset 4 : « Car il a parlé quelque part ainsi du septième jour : Et Dieu se reposa de toutes ses œuvres le septième jour. Et ici encore : Ils n'entreront pas dans mon repos ! » Il a dit : « Maintenant, cela va être comme cela, j'ai fait un paradis pour l'homme. » Il s’est reposé de toutes Ses œuvres. Et Il dit : « Voici le repos que j'offre à l'homme. » Mais l'homme a choisi de croire le diable à la place de Dieu et l'homme a renoncé à ce repos.
Le verset 6 dit que certains entreront. « Or, puisqu'il est encore réservé à quelques-uns d'y entrer, et que ceux à qui d'abord la promesse a été faite n'y sont pas entrés à cause de leur désobéissance. » Et que dit ce verset ? Il dit ceci. Dieu aura toujours un reste, n'est-ce pas ? Dieu en aura toujours un reste qui entrera. Il y aura toujours quelques-uns. Et puis vient le plaidoyer encore une fois au verset 7. Écoutez bien : « Dieu fixe de nouveau un jour - aujourd'hui. » Avez-vous entendu cela ? Il limite à un certain jour. Dit par David au Psaume 95, « Aujourd'hui après si longtemps comme il est dit. Aujourd'hui, si vous entendez Sa voix, n’endurcissez pas votre cœur. » Vous voyez ? C'est encore le même message. Donc Il dit : « Ce repos est disponible. Vous dites : « Comment ? Quelle est la base de ce repos ? La base est que vous le mélangez avec la foi, que vous croyiez. Si vous n'y croyez pas, Dieu jure que vous n'entrerez jamais dans Son repos. Même s'il a créé le monde pour qu’on nous puissions avoir le repos. Même s'il vous a créés pour que vous entriez dans Son salut. Et même si beaucoup le rejettent, le verset 6 dit : « Certains croiront ».
Et donc il revient à son même principe. Aujourd'hui, si vous entendez Sa voix, n’endurcissez pas vos cœurs. « Car si Josué leur avait donné du repos, alors il n'aurait plus parlé d'un autre jour. » Quelle belle déclaration ! Si Israël s'était alors reposé, Josué n'aurait pas eu à parler d'un repos futur. Vous savez qu'ils n'ont jamais connu le repos ? Ils ne l'ont jamais connu. Même les rares qui sont allés dans la terre n'ont jamais connu le repos, parce que quand ils sont arrivés dans le pays, ils ont désobéi à Dieu et ils n'ont pas tué les ennemis dans le pays, n’est-ce pas ? Donc ils n'ont jamais connu le repos. Certains d'entre eux sont morts dans le désert et ne sont jamais entrés dans le repos. Ceux qui sont entrés dans la terre n'ont jamais connu le repos parce qu'ils n'ont jamais tué l'ennemi. Ils ne l'ont jamais traité comme Dieu le leur avait dit. Toute la génération ! Alors Dieu a pris toute l'idée du salut pour Israël et l'a reportée. Et comme le dit Romains 11 : « Un jour, Israël sera sauvé ».
Il y a encore un repos. Dieu offre encore un repos. Ce n'est pas un repos physique comme Canaan, c'est un repos spirituel, et l'écrivain de l’épître aux Hébreux tend la main et dit : « Maintenant, juste aujourd'hui, en ce moment, vous pouvez entrer dans le repos de Dieu par la foi dans votre cœur. » J'aime le verset 9. Que dit-il ? « Il y a donc un repos de sabbat réservé au peuple de Dieu. » En d'autres termes, ce n'était pas la fin. Dieu n'a pas simplement dit : « Que la race humaine soit maudite ! C'est tout. J’en ai marre ! Pas de salut ! Plus de repos ! Je m’en lave les mains. J'abandonne ! J'ai tout fait pour vous. Vous me tournez le dos, c'est fini ! Non, Il n'a pas dit cela. Il a dit : « Si vous ne prenez pas le repos ici en Canaan que je vous offre dans un sens physique, en tant que symbole du salut que je vous offre spirituellement, je garderai mes bras de grâce ouverts jusqu'à ce que vous le fassiez. N'est-ce pas génial ?
Ainsi, dans un sens général, la grâce de Dieu a toujours été étendue à Israël et aux païens, au monde entier. Les bras de Dieu sont encore ouverts, et « il reste - » verset 9 – « un repos pour le peuple de Dieu. » Je pense que le peuple de Dieu ici est un terme technique pour parler d’Israël. Il dit vraiment qu'il y a toujours une opportunité pour le Juif. Et nous pouvons dire cela aujourd'hui, n'est-ce pas ? Vous savez, bien qu'Israël ne soit jamais entré dans la terre de Canaan selon la volonté de Dieu, même s'ils ont crucifié leur propre Messie, Dieu leur a dit par la prédication de Pierre le jour de la Pentecôte : « Vous avez tué le Messie ». Sur la ligne suivante, Il dit : « Mais vous êtes toujours les fils de l'alliance. » Cela n'a pas brisé la promesse de Dieu, il reste encore un repos pour Israël.
N'est-il pas merveilleux aujourd'hui que nous puissions aller voir le peuple juif et l'appeler à Jésus-Christ pour savoir qu'il y a encore un repos pour eux ? N'est-il pas merveilleux que, lorsque nous avons échoué avec Dieu dans le jardin, Il ne nous a pas tourné le dos ? Quand nous avons échoué avec Dieu à Canaan, Il ne nous a pas tourné le dos ? Quand le monde entier s'est rassemblé, Juifs et païens, pour crucifier Son propre Fils, Il ne s'est pas détourné de nous. Quand l'église a été apostat, Il ne s'est pas détourné de nous. Il tend toujours Ses bras avec amour. Il y a un repos pour le peuple de Dieu. Et puis, au verset 10, il dit : « Car celui qui entre dans le repos de Dieu se repose de ses œuvres, comme Dieu s'est reposé des siennes.» Quelle belle déclaration ! Vous entrez par la foi et non par les œuvres.
Vous entrez par la foi et non par les œuvres, et vous vivez par la foi et non par les œuvres. Ce n'est pas un système de travail. C'est un repos dans l'œuvre de Christ. Et Il le fait à travers nous. Nous ne le faisons pas dans notre chair. Par conséquent, le verset 11 dit : « Efforçons-nous donc d'entrer dans ce repos.» Maintenant, il y a une dichotomie. Il dit simplement : « C’est un repos et vous n'entrerez pas par les œuvres », et ensuite il dit : « Œuvrons pour entrer.» Que veut-il dire par là ? De quel genre de travail parle-t-il ? Ce n'est pas le mot travail, c'est le mot spoudazō, et cela veut dire se dépêcher. Écoutez, dit-il : « Dieu veut que vous entriez dans ce repos. « Dépêchez-vous d’entrer dans ce repos afin que personne ne tombe en donnant le même exemple de désobéissance. » Après l'exemple d'Israël, ne tombez pas.
J'ai essayé de vous montrer la disponibilité du repos, la base du repos. Le verset 11 nous donne l'urgence du repos. Dépêchez-vous et entrez. Vous dites : « Pourquoi ? A cause des versets 12 et 13 et nous terminerons avec ceux-ci. Vous devez vous dépêcher. Pourquoi ? « Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. Nulle créature n'est cachée devant lui, mais tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte. » Arrêtons là.
Maintenant écoutez cela. Il dit : « Dépêchez-vous, spoudazō, hâtez-vous, hâtez-vous d'entrer dans le repos. » Et le repos est le Salut. Il dit : « Allons, allons.» Comment allez-vous vous échapper si vous négligez un si grand salut ? Qu'allez-vous faire si vous péchez volontairement après la connaissance de la vérité ? Il vous sera impossible de renouveler la repentance, une fois que vous aurez crucifié le Fils de Dieu et l'aurez couvert de honte. S'ils n'ont pas refusé ceux qui ont dit non à Dieu quand Il a parlé d'une montagne terrestre, comment allez-vous vous échapper si vous n'écoutez pas la voix de Dieu qui a parlé du ciel ? Tous ces avertissements sont résumés et il dit au verset 11 : «Dépêchons-nous d'entrer dans le repos de Dieu. Ne le remettez pas à plus tard, ne le négligez pas, ne procrastinez pas. Ne dites pas : « Demain ». Ne dites pas : « Quand je comprendrai mieux. » Faites-le maintenant. Il faut de la diligence. Pourquoi ? Vous dites: « Pourquoi ? » « Car la Parole de Dieu est une épée », voilà pourquoi.
Maintenant, vous entendez parfois des personnes utiliser ce verset pour parler du réconfort, de la beauté de la Bible. Ce n'est pas ce dont il parle. La Parole de Dieu est une épée de vengeance. La Parole de Dieu est une épée de colère. Les deux tranchants signifient que vous ne pouvez pas y échapper. Cela va dans les deux sens. Quelle que soit la façon dont vous vous déplacez, elle vous aura. Vous voyez, elle vous perforera, elle divisera votre être intérieur, elle révélera vos motivations et elle vous déchirera complètement. C'est ce qu'Il dit. Tout est une image d'une épée plongée dans un individu qui déchire les articulations et la moelle. Il discerne les pensées. Il discerne les motifs. Écoutez, la Parole de Dieu va pénétrer le cœur d'un individu. Et même s'il a été religieux, même s'il est allé à l'église et s’est accroché à la clôture et même s’il a cru avec son esprit, la Parole de Dieu diagnostiquera la vraie condition du cœur, elle montrera si la profession est vraie ou trompe-l'œil, et elle vous divisera largement devant Dieu.
Maintenant, vous voyez, la parole est présentée comme une épée maniée dans le jugement. Elle est vivante ! Elle est puissante ! Elle est aiguisée ! Elle divise. Elle discerne. Et rien n'échappe. Vous ne pourrez échapper ! Jamais ! C'est ce que dit le verset 13. « Nulle créature n'est cachée devant Lui, mais tout est à nu et à découvert aux yeux de Celui à qui nous devons rendre compte. » Vous ne ferez jamais d'évasion parce qu'Il le saura. Écoutez, cette petite phrase puissante, « Toutes choses sont nues et ouvertes aux yeux de Celui avec qui nous avons à faire. » Dans les temps anciens, lorsqu'un criminel était jugé, un poignard avec sa pointe était fixé sous son menton, attaché autour de son cou de sorte que son visage était poussé vers le haut par le poignard et il ne pouvait pas bouger vers le bas. Pourquoi faisaient-ils cela ? Parce qu'il était courant qu'un criminel devant un juge incline la tête dans la honte et la dissimulation et cache son visage.
Ce que dit l'auteur d'Hébreux. En ce jour, votre visage va être soutenu pour regarder les yeux dans les yeux le jugement de Dieu. Vous ne serez pas capable de cacher quoi que ce soit. Et la Parole démasquera la vérité de savoir si vous connaissez Dieu ou non. Maintenant, ce n'est pas un message facile à prêcher et je n'essaie pas de détruire l'espoir de quiconque. Je veux juste que vous connaissiez Jésus-Christ. Je veux que vous entriez dans le repos de Dieu. Vous savez, je sais ce qui va se passer. La Bible me dit. Il y aura beaucoup de carcasses dans le désert et elles seront très religieuses, très religieuses.
Ils peuvent croire que Jésus est mort et ressuscité et ils ont peut-être voulu que quelqu'un les sorte de l'esclavage de leur vie. Mais ils n'ont jamais mis leur fois dans le Seigneur, et ainsi ils mourront dans le désert, ces personnes religieuses. Ils pensent que tout ira bien, mais ce n'est pas le cas. Cela ne va pas aller bien à la fin. Cela va être terrible à la fin quand l'épée du jugement de Dieu tombera. Aujourd'hui est le jour pour entrer dans Son repos.
Écoutez ceci. L'explorateur Edward Parry explorait le pôle Nord. Il emmena son équipage aux extrémités de ce désert blanc et s'efforça de marcher aussi loin que possible vers le nord. Les jours étaient longs. Alors, pendant la nuit, ils ont cartographié les étoiles pour déterminer leur position exacte, puis ils ont marché pendant des heures, et des heures, jusqu'à ce qu'il redevienne enfin sombre. Ils avaient traversé la toundra blanche pendant des heures. Lorsque les étoiles sont sorties, ils ont examiné les étoiles et ont revérifié pour voir jusqu'où elles étaient allées. À leur grande surprise, ils ont découvert qu'ils étaient plus au sud que lorsqu'ils avaient commencé. La vérité c’est qu'ils marchaient vers le nord sur un écoulement de glace qui descendait vers le sud.
Et j'ose dire qu'il y a beaucoup de personnes qui marchent vigoureusement sur l’écoulement de glace des travaux qui vont se trouver plus au sud que lorsqu'ils ont commencé. Écoutez, si vous essayez d'y arriver par vous-même, ou si vous pensez que le fait de savoir que c'est vrai suffit, vous avez tort. Jusqu'à ce que vous vous jetiez sur Jésus-Christ, vous vivez en danger éminent du jugement de Dieu. Prions.
Père, nous Te remercions de la clarté avec laquelle Tu nous parles dans Ta Parole. Combien ces vérités pénètrent ! Père, je prie tellement en ce moment, de tout mon cœur, pour ceux qui peuvent être ici dans cette situation. Seigneur, je ne sais pas combien il y en a. Et je ne sais pas qui m'écoutera un jour prêcher le même sermon sur cassette, mais Oh Dieu, s'il y a quelqu'un qui sait que c'est vrai mais qui n'a pas encore ouvert son cœur à Jésus-Christ, que ce soit le moment où ils le fassent.
Tandis que vos têtes sont inclinées et que vos yeux sont fermés, laissez-moi vous demander quelque chose pour terminer ? Voulez-vous simplement ouvrir votre cœur au Seigneur ce soir ? Vous pourriez dire : « Seigneur, je veux savoir si je suis un vrai chrétien ? » Examinez-vous simplement. Vous ne devriez pas avoir peur de le faire si vous Le connaissez vraiment. Si vous avez des doutes quant à savoir si vous avez vraiment pris cet engagement envers Christ, alors vous ne L'avez probablement pas fait. Et peut-être avez-vous besoin de dire : « Seigneur Jésus, je me suis assis sur la clôture assez longtemps et j'ai connu la vérité assez longtemps et maintenant je veux prendre Jésus-Christ et Le couronner Roi dans ma vie. Je veux céder à Lui. Je veux accepter Son salut. Je veux marcher sous Sa Seigneurie. » Peut-être, vous avez juste besoin de dire: « Christ, viens dans ma vie. Je crois et je te reçois comme Seigneur. »
Je ne sais évidemment vraiment pas ce qui s'est passé dans votre cœur. Le Seigneur, si. J'espère que vous ne partirez pas ce soir en disant, « demain » ou « Je vais le faire, un jour. » Il n'y a peut-être pas de lendemain pour vous. Cela peut ne pas arriver. Et le lendemain peut être pire qu'aujourd'hui. Parce que vous ne l'avez pas dit une fois de plus, ce sera plus facile la prochaine fois. Si vous savez que vous avez besoin de Jésus-Christ et que vous savez que c'est la vérité, dans une simple foi enfantine, dites: « Seigneur, je crois. Je reçois Jésus-Christ. Lave mon péché et règne en tant que Seigneur dans ma vie. »
Père, nous Te remercions ce soir pour Ta Parole et nous Te remercions tellement pour sa grande vérité. Seigneur, combien cela touche la vie. C'est si évident que c'est Ton livre parce que personne ne pourrait jamais connaître toutes ces choses qui se passent dans nos cœurs sauf Toi. Merci de nous avoir parlé. Bénis chaque personne ici. Que personne ne se couche ce soir sans avoir reçu Jésus-Christ, sans être né de nouveau dans Son Royaume. Nous prions dans Son nom merveilleux. Amen.

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