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Nous avons examiné le sujet de l'idolâtrie du culte de Marie dans ce qui est vraiment une étude de la fausse religion, du catholicisme romain et de son culte à Marie. Il est intéressant de noter que la semaine dernière, j'ai eu l'occasion d'être au Larry King Show, certains d'entre vous l'ont probablement vu, avec tout un groupe de catholiques romains et plusieurs prêtres. Et dans la salle verte, il y avait des apologistes catholiques, des personnes des médias catholiques, et des personnes de la publicité catholique, et il y avait quelques jeunes hommes du séminaire du Vatican et l'habituel Père Manning. Je vérifiais mes faits, comme j'avais l'occasion de le faire en leur parlant de choses, et il m'a été affirmé que les choses mêmes dont nous parlons dans cette étude de Marie sont les choses auxquelles elles sont vraiment et sincèrement dévouées. Nous avons passé trois semaines à discuter de ce que l'Église catholique dit essentiellement à propos de Marie. Nous avons parlé de leur dévotion à Marie. Nous avons parlé de leur doctrine concernant Marie. En fin de compte, quand tout est dit et fait, il est très évident que la perception dominante, c’est qu'ils adorent Marie. En fait, sur une base pragmatique, ils adorent Marie beaucoup plus qu'ils ne vénèrent le Seigneur Jésus-Christ, et bien plus qu'ils ne vénèrent le vrai et Dieu vivant.

C'est l'idolâtrie dans la forme la plus claire. Et pour faire face à cela, nous avons, bibliquement, seulement besoin de faire deux choses. L'une de ces choses c’est de voir ce que la Bible dit à propos de l'idolâtrie, et l'autre c’est de voir ce que la Bible dit réellement à propos de Marie. Et puis, nous comprendrons clairement qu'ils ont inventé une déesse à adorer qui n'a aucun rapport avec la vraie Marie, la mère de Jésus révélée dans l'Écriture, la Marie historique.

Je veux commencer, cependant, par le Psaume 115 parce que je veux que ce que le Psaume dit soit fixé dans votre esprit. Psaume 115, et je pense qu'il nous sera utile d'écouter ce psaume ou de le suivre dans la Bible alors que je le lis. Psaume 115 : « Non pas à nous, Eternel, non pas à nous, mais à ton nom donne gloire, à cause de ta bonté, à cause de ta fidélité ! Pourquoi les nations diraient-elles : où donc est leur Dieu ? Notre Dieu est au ciel, Il fait tout ce qu'il veut. Leurs idoles sont de l'argent et de l'or, elles sont l'ouvrage de la main des hommes. Elles ont une bouche et ne parlent point, elles ont des yeux et ne voient point, elles ont des oreilles et n'entendent point, elles ont un nez et ne sentent point, elles ont des mains et ne touchent point, des pieds et ne marchent point, elles ne produisent aucun son dans leur gosier. Ils leur ressemblent, ceux qui les fabriquent, tous ceux qui se confient en elles. Israël, confie-toi en l'Eternel ! Il est leur secours et leur bouclier. Maison d'Aaron, confie-toi en l'Eternel ! Il est leur secours et leur bouclier. Vous qui craignez l'Eternel, confiez-vous en l'Eternel ! Il est leur secours et leur bouclier. L'Eternel se souvient de nous : Il bénira, Il bénira la maison d'Israël, Il bénira la maison d'Aaron, Il bénira ceux qui craignent l'Eternel, les petits et les grands ; l'Eternel vous multipliera ses faveurs, à vous et à vos enfants. Soyez bénis par l'Eternel, qui a fait les cieux et la terre ! Les cieux sont les cieux de l'Eternel, mais il a donné la terre aux fils de l'homme. Ce ne sont pas les morts qui célèbrent l'Eternel, ce n'est aucun de ceux qui descendent dans le lieu du silence ; mais nous, nous bénirons l'Eternel, dès maintenant et à jamais. Louez l'Eternel ! »

Maintenant, je veux que vous sachiez la singularité de cet appel à la louange. Le Seigneur seul doit être glorifié. Le Seigneur est la source de l'amour bienveillant. Le Seigneur est la source de la vérité. Le Seigneur est digne de confiance. Il est notre aide et notre bouclier. Seul le Seigneur est à craindre. Il est à nouveau notre secours et notre bouclier. Il n’est pas besoin de rappeler au Seigneur qui nous sommes, Il est conscient de nous, Il nous bénira. Il doit recevoir toutes nos louanges. Dans le Psaume 116 : « J'aime l'Eternel, car il entend ma voix, mes supplications ; car il a penché son oreille vers moi ; et je l'invoquerai toute ma vie. » Je n'ai pas besoin d'un autre dieu. Je n'ai pas besoin de médiateur. Je n'ai pas besoin d'un intermédiaire. Je n'ai pas besoin de quelqu'un pour plaider mon cas devant Dieu. Même dans les circonstances les plus graves, le verset 3, « Les liens de la mort m'avaient environné, et les angoisses du sépulcre m'avaient saisi ; j'étais en proie à la détresse et à la douleur. Mais j'invoquai le nom de l'Eternel : O Eternel, Sauve mon âme ! » Vous vous rappellerez que le Pape Jean Paul II, quand il a été attaqué, a pleuré, « Marie, sauve-moi. Marie, sauve-moi. Marie, sauve-moi. »

Et pourquoi invoquer le Seigneur ? Verset 5 : « L'Eternel est miséricordieux et juste, notre Dieu est plein de compassion ; l'Eternel garde les simples ; j'étais malheureux, et il m'a sauvé. Mon âme, retourne à ton repos, car l'Eternel t'a fait du bien. Oui, tu as délivré mon âme de la mort, mes yeux des larmes, mes pieds de la chute. Je marcherai devant l'Eternel, sur la terre des vivants. J'avais confiance, lorsque je disais : Je suis bien malheureux ! Je disais dans mon angoisse : tout homme est trompeur. Comment rendrai-je à l'Eternel tous ses bienfaits envers moi ? J'élèverai la coupe des délivrances, et j'invoquerai le nom de l'Eternel ; j'accomplirai mes vœux envers l'Eternel, en présence de tout son peuple. Elle a du prix aux yeux de l'Eternel, la mort de ceux qui l'aiment. Ecoute-moi, ô Eternel ! Car je suis ton serviteur, Ton serviteur, fils de ta servante. Tu as détaché mes liens. Je t'offrirai un sacrifice d'actions de grâces, et j'invoquerai le nom de l'Eternel; j'accomplirai mes vœux envers l'Eternel, en présence de tout son peuple, dans les parvis de la maison de l'Eternel, au milieu de toi, Jérusalem ! Louez l'Eternel ! »

Psaume 117, « Louez l'Eternel, vous toutes les nations, célébrez-le, vous tous les peuples ! Car sa bonté pour nous est grande, et sa fidélité dure à toujours. Louez l'Eternel! » Psaume 118 : « Louez l'Eternel, car Il est bon, car sa miséricorde dure à toujours ! Qu'Israël dise : car Sa miséricorde dure à toujours ! Que la maison d'Aaron dise: car sa miséricorde dure à toujours ! Que ceux qui craignent l'Eternel disent : car sa miséricorde dure à toujours ! »

La vision catholique de Marie remet en question la compassion, la sympathie, la bienveillance de Dieu. Elle met dans l'esprit des personnes des doutes sur les soins, l'intérêt, la sympathie, la compassion et l'intérêt de Dieu pour leur sort. Nul ne pourrait être plus éloigné de la vérité. La Bible se termine au 22ème chapitre de l'Apocalypse avec Jean ayant entendu les révélations étonnantes, et dans ce cas particulier celles d’un ange, quand il a entendu, il dit dans le verset 8 d'Apocalypse 22 : « je tombai aux pieds de l'ange qui me les montrait, pour l'adorer. Mais il me dit : garde-toi de le faire ! Je suis ton compagnon de service, et celui de tes frères, les prophètes, et de ceux qui gardent les paroles de ce livre. Adore Dieu ! » Dans une autre scène du livre de l'Apocalypse, il y a un ange qui vole au ciel avec un message éternel : « Adorez Dieu. Adorez Dieu » qui doit être adoré comme notre Rédempteur, notre Bienfaiteur, notre Consolateur, notre Soutien, notre Libérateur.

Le Seigneur est l'objet de tout notre culte. Le Seigneur est l'objet de toutes nos actions de grâce. Le Seigneur, le Dieu trinitaire, le Père, le Fils et le Saint-Esprit, Lui seul doit être loué, Lui seul doit être vénéré, Lui seul doit être adoré, Lui seul doit être supplié. Nous n’avons pas besoin d’intercéder par l’intermédiaire d’une autre personne. Vous pouvez aller directement à Dieu. L'Ancien Testament le montre clairement, et dans le Nouveau Testament, nous allons directement à Dieu le Fils, et par Dieu le Fils directement à Dieu le Père. Nous sommes attirés vers Dieu le Fils par l'Esprit, et nous avons accès à Dieu le Père par le Fils. C'est pourquoi 1 Timothée 2 : 5 dit : « Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme. » Il y a un médiateur et c'est l'homme, Jésus Christ. Pas des anges, pas des saints, et pas Marie. Tous nos fardeaux, toutes nos prières, toutes nos demandes vont directement à Dieu par notre relation avec Jésus-Christ.

Jean 14 : 13 : « et tout ce que vous demanderez en mon nom, je le ferai, afin que le Père soit glorifié dans le Fils. Si vous demandez quelque chose en mon nom, je le ferai. » Dieu n'est pas réticent à entendre nos prières ; Jésus n'est pas non plus réticent à entendre nos prières, de sorte que nous n’avons pas besoin d’aller à la mère de Jésus qui, supposément, peut adoucir Jésus, qui peut ensuite adoucir Dieu pour montrer un certain intérêt pour nos dilemmes. Et Jean écrit de nouveau dans 1 Jean 5 verset 14 : « Nous avons auprès de lui cette assurance, que si nous demandons quelque chose selon Sa volonté, Il nous écoute. Et si nous savons qu'Il nous écoute, quelque chose que nous demandions, nous savons que nous possédons la chose que nous lui avons demandée. » Nous allons directement à Dieu, directement par l'incitation de l'Esprit à Dieu le Fils, et par Dieu le Fils à Dieu le Père.

Nous avons terminé notre discussion sur la vision catholique de Marie la dernière fois en parlant du fait qu'ils enseignent que Marie est la co-médiatrice. Avec Jésus, elle est la médiatrice de toutes les grâces. Elle est le canal de toutes les grâces. Vous vous rappelez des déclarations faites comme celle-ci : « Marie est la mère de toutes les grâces. Marie est la source de toutes les miséricordes. Aucune grâce n'est accordée à qui que ce soit sans sa médiation, son intercession et sa coopération. Toutes les grâces viennent à nous par les mains de Marie. Marie est l'intercesseur direct du Christ, elle reçoit du Christ toutes les grâces et nous les distribue, et par conséquent nos prières doivent être dirigées vers Marie. » Tout cela, bien sûr, c’est un mensonge et de la tromperie, et cela frappe de nouveau la nature de Dieu comme quelqu'un qui est aimant, gentil, compatissant, sympathique et attentionné. Cela porte un coup contre le médiateur qui est le Seigneur Jésus-Christ, Le seul vers qui nous devons aller pour nous adresser directement au Père.

Marie n’est pas non plus co-rédemptrice comme le dit l'Église catholique romaine, et c’est l'une des grandes affirmations de Jean-Paul II. Je le cite, « Marie participe à notre rédemption ». Et, bien sûr, il emprunte le langage de Pie XI qui a dit : « Marie participe à la rédemption accomplie par son Fils et toutes les grâces ne sont accordées que par son intercession. Elle a participé avec Jésus-Christ à l'acte très douloureux de la rédemption. » Marie dans sa douleur abandonne son Fils, participant à une forme de rédemption pour que le Christ ne soit pas le médiateur unique, et Il n'est pas le seul et unique Rédempteur.

Nous avons clôturé notre session la dernière fois en parlant du fait que l'Église Catholique romaine enseigne que Marie avait plus de justice que nécessaire pour entrer au ciel. Elle avait plus de mérite que nécessaire et ainsi son excès de mérite a été déposé dans ce qu'on appelle le Trésor du Mérite, et vous pouvez prendre le mérite que Marie a gagné et le déposer là-bas et l'appliquer à votre vie de catholique romain afin qu'il puisse raccourcir ou éliminer la discipline terrestre. Ou plus important encore, il peut raccourcir votre temps au purgatoire. C'est la doctrine du Trésor du Mérite, la doctrine des Indulgences, ou de l’Absolution. Vous recevez une certaine quantité de pardon par le mérite ou la justice de Marie qui vous est imputée dans la vie et au purgatoire. Ses bonnes œuvres, les bonnes œuvres de la Sainte Vierge, sont dans le Trésor du Mérite. La théologie catholique romaine, vous vous en souviendrez, dit que le Trésor du Mérite inclut les bonnes œuvres de la vierge, immenses, insondables et parfaites dans leur valeur devant Dieu.

Inventer cette déesse qui n'a rien à voir avec la vraie Marie de l'histoire biblique, la mère de Jésus, inventer cette déesse en lui donnant des pouvoirs de médiation de toutes les grâces, lui donnant des pouvoirs de rédemption, et lui donnant des pouvoirs de justice imputée aux comptes de ceux qui font appel à elle est une invention imaginée de toute part. C'est, comme je l'ai dit, l'invention d'une déesse avec le mélange du paganisme et du gnosticisme avec le christianisme. C'est vraiment tout le paganisme, et tout le gnosticisme ; seul le nom Marie est emprunté au christianisme.

Ceci est assez cohérent avec beaucoup d'autres croyances gnostiques, même le « Da Vinci Code » tiré de l'une des anciennes hérésies gnostiques concernant Marie-Madeleine. L'idée dans le « Da Vinci Code », empruntant cette vieille hérésie gnostique, c’est que Marie-Madeleine était censée être la reine de l'église. Elle était censée être la tête de l'église et les apôtres étaient contrariés par cela, et ils se sont débarrassés d'elle, et Pierre a usurpé la place de Marie-Madeleine dans un acte de chauvinisme masculin manifeste, une sorte de coup d'état masculin, et a pris la relève de l’église. Bien sûr, les racines de ce genre d'enseignement et de croyance se trouvent dans le féminisme ancien, qui a ses racines dans le culte de la déesse qui remonte à Babylone. C'était un stratagème satanique depuis le tout début, alors que Satan essayait de contrefaire et de bouleverser l'ordre divin et le leadership masculin. Donc, ce que vous avez avec Marie c’est juste une autre forme de paganisme qui a balayé l'église, s'est mélangée avec le christianisme. Ce n'est rien d'autre que le culte de la déesse.

Maintenant, en conclusion, et nous avons juste un peu de temps pour conclure, je veux juste parler de trois choses pour en tirer trois conclusions. Premièrement, je veux parler du blasphème. Toute cette concoction est blasphématoire. C'est-à-dire, c'est une agression contre Dieu. C'est un assaut à part entière contre Dieu. C'est un assaut contre Dieu le Père, c'est une agression contre Dieu le Saint-Esprit, et c'est une agression contre Dieu le Fils. Et nous l'avons déjà indiqué dans les mots d'introduction, mais permettez-moi de le développer pour vous.

Tout d'abord, le culte de Marie est une attaque contre Dieu Lui-même. Marie devient la mère du Fils de Dieu. Marie devient la mère de Dieu, dans leur langage. Elle est appelée la reine des cieux, et donc c’est la rivale du roi des cieux, le Dieu souverain Lui-même. Comme nous l'avons appris, elle obtient la souveraineté. Elle est digne d'adoration, digne de louange. Elle demande que, si vous voulez le salut, vous l'adoriez, que vous l'aimiez, que vous l'intronisiez parce qu'elle est aimante, aimable, miséricordieuse. Elle sait tout, voit tout et est tout puissante. De Liguori dans « Les Gloires de Marie », page 566, cite : « A l'ordre de Marie, tous obéissent, même Dieu. » C’est un blasphème contre Dieu.

Ce culte de la déesse est aussi un blasphème contre le Saint-Esprit. Marie est la consolatrice. Marie est la sympathisante. Marie est l'aide. Marie donne le pouvoir. Marie est l'avocate. Marie est celle qui exhorte. Marie est même la sanctificatrice qui travaille à rendre ses enfants purs.

Ce culte de la déesse est aussi une attaque contre le Fils. Elle devient un sauveur contrefait : née sans péché, sans la tâche du péché originel, menant une vie sans péché. Elle est appelée l'enfant entièrement sainte. Elle devient rédemptrice, pourvoyeuse de salut, dispensatrice de pardon, source de toute bénédiction, du salut à la glorification. Elle est appelée la toute-sainte, un titre clairement appartenant seulement à Dieu. Et si vous aviez été avec nous pendant les trois dernières semaines, vous auriez senti la chaleur du blasphème. Ainsi, en conclusion, le blasphème est la première chose à comprendre. Deuxièmement, appelons cela la comparaison. Nous devons faire un peu de comparaison ici. Que disent les Ecritures à propos de Marie ? Quelle est la véritable histoire de Marie ?

Très bien, ouvrez votre Bible. J'attendais cela depuis longtemps. Et je veux juste vous donner un rapide aperçu, un peu d'étude biblique. Voici juste un coup d’œil rapide. Allez à Matthieu 1. Cela va aller vite, essayez de suivre. Verset 16, nous présente Marie dans la lignée de David, jusqu'à Marie et Joseph. Marie est présentée dans Matthieu 1 : 16 simplement par ces mots : « Jacob engendra Joseph, l'époux de Marie, de laquelle est né Jésus, qui est appelé Christ. » La Bible ne l'appelle discrètement jamais la mère de Dieu qui est un titre très trompeur, toujours la mère de Jésus. Et ainsi nous rencontrons Marie, elle est la femme dans la généalogie d'un homme nommé Joseph. Tous les deux sont dans la ligne messianique descendante de David ; deux familles différentes, mais tous les ancêtres retournent à David pour que Jésus soit royal dans le sang de la mère, et royal dans le droit du père dans lequel le droit de régner est reconnu. Nous la voyons encore au verset 18. Elle est fiancée. Ceci est un engagement formel envers Joseph, et elle est trouvée avec un enfant avant d'avoir eu une quelconque relation physique. Joseph est un homme juste, ne veut pas la déshonorer, et il décide donc de divorcer secrètement parce que le divorce est une bonne chose à faire si votre femme a été infidèle, même dans la période précédant la consommation du mariage. Et puis, bien sûr, un ange vient et dit : « ne crains pas », verset 20, « de prendre avec toi Marie, ta femme, car l'enfant qu'elle a conçu vient du Saint-Esprit. » Et ainsi, verset 25 : il la garde, vierge jusqu'à ce qu'elle ait donné naissance à un Fils et qu'il l’ait appelé du nom de Jésus.

C'est une jeune fille de 13 ou 14 ans dans cet environnement. Un ange lui dit qu'elle va avoir un enfant sans homme. Cet enfant sera Dieu avec nous, Emmanuel, et Dieu parle à son mari et l'enfant naît, et c'est l'histoire, la voilà. Chapitre 2, les mages entrent dans la maison, ils voient l'enfant avec Marie, sa mère. Elle apparaît de nouveau brièvement dans le chapitre 2, elle est mentionnée au verset 14. « Joseph se leva, prit de nuit le petit enfant et sa mère, et se retira en Egypte. » Elle n'est pas nommée, mais mentionnée. Et au verset 21, « Joseph se leva, prit le petit enfant et sa mère, et alla dans le pays d'Israël. » Son nom disparaît déjà du récit.

C'est tout ce que nous avons jusqu'à ce que nous arrivions au premier chapitre de Luc, chapitre 1. Au verset 26, « Au sixième mois, l'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, auprès d'une vierge fiancée à un homme de la maison de David, nommé Joseph. » Même information de base. Le nom de la vierge est Marie. Et l'ange dit : « Je te salue, toi à qui une grâce a été faite; le Seigneur est avec toi. » Si un ange est apparu et l'a accueillie de cette façon, cela a dû être une apparition surprenante. Elle était par conséquent grandement troublée, et continuait à se demander ce qui se passait. L'ange dit : « Ne crains point, Marie ; car tu as trouvé grâce devant Dieu. Et voici, tu deviendras enceinte, et tu enfanteras un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus. », et il continue en disant qu'il sera le Fils du Très-Haut, que le Seigneur Dieu Lui donnera le trône de David, Son père. Il sera le Messie. Il sera le Fils de Dieu.

Comment cela va se passer ? Verset 35, « Le Saint-Esprit viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te couvrira de son ombre. C'est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu. » Marie répond à cette annonce incroyable au verset 38 en disant : « Je suis la servante du Seigneur ». Elle se reconnaît comme la servante du Seigneur. Je veux juste m'assurer que vous comprenez cela. Elle se voit comme la servante du Seigneur, Dieu n’est pas son serviteur, et elle accepte cette annonce et dit : « Qu'il me soit fait selon Ta Parole. » Elle est mentionnée au verset 39, elle va voir une parente du nom d'Elisabeth qui est aussi miraculeusement enceinte parce qu'elle était une très vieille dame quand le Seigneur est venu vers elle, et lui a permis, avec son mari, Zacharie, de concevoir un enfant qui s’appellerait Jean-Baptiste, né quelques mois avant Jésus, et serait le précurseur du Seigneur Jésus Lui-même.

La première fois que nous entendons Marie parler et la seule fois, c’est dans le verset 46 et Marie a dit : « Mon âme exalte le Seigneur. » Maintenant, nous pourrions nous arrêter là et construire beaucoup de théologie à ce sujet. « Mon âme exalte le Seigneur. » Je veux dire, faisons les choses correctement. Marie se soumet à Dieu, Dieu ne se soumet pas à Marie, et Marie exalte le Seigneur ; le Seigneur n'exalte pas Marie. Et de plus au verset 47, « Mon esprit s'est réjoui en Dieu, mon », quoi ? « Mon Sauveur. » C'est peut-être la chose la plus irrévocable qui sorte des lèvres de Marie. Reconnaître que Dieu est son Sauveur, c'est reconnaître qu'elle est pêcheur. Et non seulement cela, elle est une esclave modeste, au verset 48, « Parce qu'il a jeté les yeux sur la bassesse de sa servante. » Verset 49, « Parce que le Tout-Puissant a fait pour moi de grandes choses. » Et puis « Et sa miséricorde s'étend d'âge en âge ». Elle n'identifie pas Dieu comme dur, pas comme indifférent, pas comme lointain, mais comme quoi ? Miséricordieux. « Il a déployé la force de son bras », elle récite l'histoire, « Il a dispersé ceux qui avaient dans le cœur des pensées orgueilleuses. Il a renversé les puissants de leurs trônes, et il a élevé les humbles. » Marie adore Dieu. « Il a rassasié de biens les affamés, et il a renvoyé les riches à vide. Il a secouru Israël, son serviteur, et il s'est souvenu de sa miséricorde. Comme il l'avait dit à nos pères, envers Abraham et sa postérité pour toujours. » En tant que jeune fille, jeune fille juive, de 13, 14 ans, très dévouée, miraculeusement, elle doit devenir la mère du Fils de Dieu, et tout ce qu'elle peut faire, c'est reconnaître qu'elle est l’humble servante, et elle se réjouit dans un Dieu qui est Son sauveur.

Maintenant, l'événement actuel, au chapitre 2, elle est mentionnée au verset 5, parce que Joseph va s'enregistrer, avec Marie à qui il était fiancé et qui est déjà enceinte. Ils descendent à Bethléem et le jour où elle devait accoucher approchait. Au verset 7, elle a donné naissance à son fils premier-né. Évidemment, l'utilisation du premier-né indique qu'elle en a eu d'autres. L'indication qu'il l'a gardée vierge jusqu'à la naissance de Christ est aussi une indication qu'il ne l'a pas gardée vierge après la naissance de Christ, mais il y a d’abord eu le mariage et ensuite la consommation. Le langage des Ecritures est si clair à propos de tout cela.

Elle accouche au verset 7, l'enveloppe d’un lange, le couche dans une mangeoire, et c'est parce qu'il n'y a pas de place dans l'auberge. Verset 34, elle va au temple pour passer une cérémonie de purification. Encore une fois, elle fait cela. C'est symbolique de son péché. Elle y va pour s'engager dans une cérémonie de purification qui était exigée à toutes les femmes juives qui avaient accouché sous cette ancienne alliance. Et elle y va, elle rencontre ce vieil homme saint, Siméon, qui bénit la petite famille et dit à Marie, sa mère, « Cet enfant est désigné pour la chute et le relèvement de beaucoup en Israël, et à devenir un signe qui provoquera la contradiction à toi-même une épée te transpercera l’âme afin que les pensées de beaucoup de cœurs soient dévoilées. » Et elle est de nouveau mentionnée dans cette rencontre avec Siméon.

C'est essentiellement jusqu'à un peu plus tard dans le chapitre 2, mais 12 ans plus tard dans le temps. Elle apparaît au verset 48. Ils essaient de trouver Jésus. Ils sont allés à la Pâque, Jésus est dans sa 12ème année. Ils ne peuvent pas le trouver. Ils quittent la ville dans un grand entourage retournant à Nazareth dans le nord quand ils réalisent qu'il n'est pas là. Ils reviennent et ils le cherchent. Ils le trouvent, et sa mère lui dit : elle ne donne pas son nom, mais sa mère, au verset 48, lui dit : « Mon enfant, pourquoi as-tu agi de la sorte avec nous ? Voici, ton père et moi, nous te cherchions avec angoisse. »

Maintenant, si vous pensiez avec un contexte catholique. Il répondrait : « O douce mère, je m'incline devant toi. » Il ne dit pas cela. Il dit : « Pourquoi me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas qu'il faut que je m'occupe des affaires de mon Père ? » Que dit-Il ? Il dit que vous n'avez aucune prétention sur moi. Il est allé droit au but, Il est vraiment un jeune adulte, et maintenant Il sait parfaitement qui Il est. Il a grandi dans la sagesse, la stature et la faveur avec Dieu et l'homme. Il est pleinement développé dans sa compréhension de qui Il est. Qui est-Il ? Il est celui qui fait les affaires de Son Père dans la maison de Son Père. Et Son Père, le Père dont il parle, c’est Dieu.

Bien sûr, ils ne l'ont pas compris, le verset 50, n'a pas compris les déclarations qu'il leur a faites, parce que son père terrestre était charpentier. Et quand il descendit avec eux et vint à Nazareth, il continua de Se soumettre avec obéissance, bien qu'ils fussent avertis que cela était temporaire et que Sa mère gardait toutes ces choses dans son cœur. Et Il a continué à grandir en sagesse. C'est ce qui se passe pendant l'enfance de Jésus.

Cherchez dans vos Bibles Jean chapitre 2. Tout ce que nous savons de Marie jusqu'à là c’est ce que je vous ai dit. Dans Jean 2 et le verset 1, Jésus fait Son premier miracle, et Son premier miracle c’est à un mariage à Cana. Cana est la banlieue de Nazareth, si ce genre d'endroit avait des banlieues. C'est une petite ville à côté ; j'y suis allé plusieurs fois. C'est une petite promenade de Nazareth. Et un mariage se passait là-bas. Les mariages étaient de grands événements, et la mère de Jésus était là. Jésus a été invité avec ses disciples au mariage parce que c'était dans la ville voisine, juste à côté. C’’était de la famille élargie, des amis, probablement des personnes qui assistaient à la même synagogue. Ils connaissaient tout le monde. Et ils étaient là avec Marie, Jésus, les disciples. Ils ont tous été invités au mariage. Quand le vin vint à manquer, la mère de Jésus lui a dit, et c'était la mère typique, la mère juive typique, qui pouvait dire, « Fils, ils n'ont plus de vin. Ils n'ont plus de vin. »

Maintenant, jusqu'à présent, Il n'avait pas fait de miracle. Et ce que cela me dit à propos de Jésus, c’est qu’en tant que jeune homme, il était certainement été l'être humain le plus attentif, le plus sensible et le plus ingénieux qui n’ait jamais vécu sur la planète. Et on peut imaginer que Jésus, Dieu parfait dans la chair humaine, bien qu'Il n'ait rien fait de miraculeux jusqu’à présent, a tout fait parfaitement. Il n’a jamais sauté aucune occasion pour faire le bien ou aider autrui à la perfection. C'est ce qu'elle savait de Lui. Et donc ce qu'elle fait c’est ce qu'elle a probablement fait toute sa vie. Je veux dire, je peux l'imaginer dire plusieurs fois, mon fils, il y a une fuite dans le toit. Fils, je n'ai pas assez de nourriture. Fils, peu importe. Mon voisin a un problème. Et quel que soit le problème, Il aurait dans le cadre de sa propre perfection, résolue tous les problèmes. Elle ne devait pas s'attendre à ce qu’il fasse un miracle, mais elle savait qu'Il allait trouver une solution.

Et la réponse est vraiment incroyable. « Jésus lui dit : Femme. » Waouh ! Ce n’est pas vraiment impoli, mais vraiment pas ce que vous attendriez qu'Il dise à Sa mère s'il la tenait dans quelque crainte, et s'il entretenait une sorte de relation où il s'inclinait devant elle et faisait tout ce qu'elle demandait. « Femme », cela a pour effet de la distancer, « qu'y a-t-il entre moi et toi ? »

Maintenant, c'est dur. « Qu'est-ce que j'ai à faire avec vous ? » En d'autres termes, dans ma Bible d'étude, j'ai mis une note que c'est une expression sémitique commune. Et il y a quelques endroits dans l'Ancien Testament où vous le voyez, et il est conçu comme un commentaire pour éloigner deux parties. Il transmet même un degré de reproche. Jésus n'est pas impoli, mais il est très brusque. Et la phrase est simplement une façon de dire : « Qu'est-ce que toi et moi avons en commun ? » C'est tout dans le passé. Je n'y vis plus. C'est terminé. Tu m'as dit quoi faire pendant 30 ans ; tu ne me dis plus rien ! Qu'ai-je à faire avec toi ? Mon heure n'est pas encore venue. Je travaille sur un calendrier complètement différent sous une autorité complètement différente. Et ainsi, il l'éloigne à l'âge de 12 ans. Il l'éloigne au début de Son ministère.

Tandis que vous êtes dans l'évangile de Jean, chapitre 2, descendez au verset 12. « Après cela, il descendit à Capernaüm, avec sa mère, ses frères et ses disciples, et ils n'y demeurèrent que peu de jours. » Je ne fais que mettre cela parce que c'est ce que dit l'Écriture. Ils ont fait un court voyage à Capernaüm. Vous pouvez y aller à pied en une journée. Ils ont fait un court voyage à Capernaüm. C'est tout ce qu'Il dit. Mais ce qu'Il dit aussi, c'est qu'Il y est allé avec Sa mère et Ses quoi ? Frères. Ses demi-frères, en réalité : les enfants de Marie et Joseph.

Dans Matthieu, chapitre 12, un autre récit très intéressant. Maintenant, nous avons terminé avec le premier miracle ; Jésus a commencé Son ministère. Et dans Matthieu 12 : 46, en passant, ceci est aussi dans Marc 3 et aussi dans Luc 8. Trois des évangiles donnent ce récit. Verset 46, Matthieu 12. Il parlait aux foules. Sa mère et ses frères se tenaient dehors et cherchaient à lui parler. Je ne sais pas quel était le problème, je ne sais pas quel était le dilemme, je ne sais pas ce que voulait Sa mère. Vous vous souvenez, bien sûr, que Ses frères ne croyaient pas en Lui. Ils n'ont cru en Lui qu'après la résurrection. Mais de toute façon, ils sont tous venus. Sa mère et ses frères se tiennent dehors pendant qu'Il parle. Verset 47, « Quelqu'un dit à Jésus… » et Marc parle en particulier d’une foule dense. Marc 3, « Quelqu'un lui dit : Voici, ta mère et tes frères sont dehors, et ils cherchent à te parler. » Ce serait comme si je prêchais et que quelqu'un entre et dise : « Hé, John, ta mère te veut. » Vraiment ? Ce n'est probablement pas un bon moment pour partir, peu importe ce qu'elle veut. Mais c'est essentiellement ce qui est arrivé. Et Il a répondu par ce même genre de langage que nous avons vu à l'âge de 12 ans, et au début de Son ministère de miracle. Il a répondu à celui qui lui parlait et a dit : « Qui est ma mère, et qui sont mes frères ? » Maintenant, Il ne dit pas simplement, regardez, vous devez comprendre, j'ai un Père céleste et je dois faire Son affaire. Il ne dit pas simplement : je ne vais plus faire ce que tu me dis. Il dit maintenant : Tu n’as plus une position particulière à être Ma mère.

Ces relations sont vraiment parties. Il étendit la main aux disciples et dit : « Voici ma mère et mes frères ». Que veut-Il dire par là ? Il veut dire que toutes ces relations familiales terrestres sont terminées. Elles sont finies. Et Il continue à dire cela. «Quiconque », verset 50, « fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, et ma sœur, et ma mère.» Les personnes qui ont une relation avec moi sont les personnes qui font la volonté de mon Père. Et, bien sûr, la volonté du Père c’est que vous croyiez au Fils, n'est-ce pas ? « Ceci est mon Fils bien-aimé, écoutez-le. » Waouh !

Marie est passée des hauteurs de la révélation angélique, des hauteurs de la naissance virginale, à la réalisation de son propre péché ayant besoin d'un sauveur, à une cérémonie de purification qui symbolisait son péché et son besoin de purification, d'entendre par Jésus à douze ans que sa famille n’avait plus la priorité sur sa vie ; Il avait un Père différent qu'Il allait servir ; vous n'avez plus de relation unique avec moi parce que nous n’avons plus rien en commun. C'est tout du passé.

Dans le chapitre 13 de Matthieu et le verset 55, nous avons un autre aperçu de la vie de Marie. Quand Jésus enseignait, les personnes disaient toutes sortes de choses, verset 55, « N'est-ce pas le fils du charpentier ? N’est-ce pas Marie qui est sa mère ? Jacques, Joseph, Simon et Jude, ne sont-ils pas ses frères ? » Ce que nous retenons de cela, c’est comment peut-il être très spécial quand il a des membres de la famille si communs ? Personne n'exalta Marie. En fait, l'idée c’était « D’où », verset 54, « Lui viennent cette sagesse et ces miracles ? D’où Lui viennent cette sagesse et ces miracles? » Il a des frères nommés Jacques, Joseph, Simon, Judas, et des sœurs. Et nous les connaissons tous ; ils vivent tous autour d'ici. Où cet homme a-t-il eu toutes ces choses ? Ils connaissaient la famille, ordinaire très commune.

A propos, les catholiques romains disent que ce ne sont pas des frères ; ce sont des cousins. Ce ne sont pas des sœurs ; ce sont des cousines, même si le mot cousin n'est pas utilisé. Le mot pour frère est, adelphos, mais peu importe le mot utilisé dans la Bible parce que l'Église le dit, et l'Église l'emporte sur la Bible dans ce système. Et en passant, vous avez d'autres indications sur la famille de Jésus dans Marc 6 :3 et 4 et Jean 6 : 42.

Maintenant, allons à la fin de la vie de Jésus. C'est vraiment tout ce que nous savons jusqu'à ce que nous arrivions au chapitre 19 de Jean. Dans le chapitre 19 de Jean, nous sommes à la crucifixion. Et verset 25 : Près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Clopas, et Marie de Magdala. Marie est un nom très commun, évidemment. « Jésus, voyant sa mère, et auprès d'elle le disciple qu'il aimait » c'est Jean se référant toujours à lui-même comme cela. Il a dit à sa mère, « Femme, voici ton fils », encore le mot femme, maintenant cette distance. C'est comme si Jésus avait anticipé les fabrications bizarres qui viendraient autour de ce nom et de cette fille historique, Marie ; Il a fait tout ce qu'il a fait consciemment dans son ministère pour dissuader cela. « Femme, regarde ton fils », Il ne se désigne pas Lui-même, Il montre Jean, probablement en hochant la tête parce que Ses mains ont été clouées à la croix. « Puis il dit au disciple : Voilà ta mère. Et, dès ce moment, le disciple la prit chez lui. » Son père, son père terrestre, Joseph, son mari était probablement mort. Il disparaît de l'histoire au tout début, ne se montre plus jamais. Elle n'avait personne pour s'occuper d'elle. Le soin des veuves était important. Alors, Il la confie à Jean pour s'occuper d'elle. À partir de maintenant, tu es son fils, elle est ta mère. Encore une fois, il met une distance évidente avec Lui-même.

Elle apparaît une fois de plus, dans Actes 1. Les disciples, verset 12, retournèrent à Jérusalem depuis la montagne appelée des Oliviers, près de Jérusalem, le jour du sabbat. Le trajet du jour du sabbat était très court car vous ne pouviez pas marcher très loin le jour du sabbat. Quand ils sont entrés, ils sont montés dans une chambre haute où ils sont restés. C'est-à-dire, Pierre, et Jean, et Jacques, et André, Philippe, Thomas, Barthélémy et Matthieu, Jacques, fils d'Alphée, Simon le Zélote, Judas le fils de Jacques. Judas Iscariot, bien sûr, qui manque maintenant. « Tous, d'un commun accord, persévéraient dans la prière, avec les femmes, et Marie, mère de Jésus, et avec les frères de Jésus. » C'est une bonne nouvelle. Ses frères ont cru après la résurrection, et ils se présentent dans la chambre haute le jour de la Pentecôte dans une réunion de prière, avec leur mère, Marie. Remarquez, ils étaient là pour se consacrer à la prière, avec Marie. Ils n'étaient pas là pour prier Marie. Son nom n'apparaît plus jamais, nulle part dans le Nouveau Testament.

Mais il y a une autre référence que nous avons regardée dans l'évangile de Luc qui est utile pour continuer à comprendre le rôle qu'elle a joué. Luc 11, verset 27. Jésus enseigne ici, certains d'entre vous se souviennent de ce passage de Luc 11 verset 27 : « Tandis que Jésus parlait ainsi, une femme, élevant la voix du milieu de la foule, lui dit : Heureux le sein qui t'a porté ! Heureuses les mamelles qui t'ont allaité ! » On dirait un catholique pré-catholique. La Sainte Vierge « Heureux le sein qui t'a porté ! Heureuses les mamelles qui t'ont allaité ! » Mais Il a dit : « Heureux plutôt ceux qui écoutent la parole de Dieu, et qui » Quoi ? « La gardent ! »

C’aurait été une occasion parfaite pour Lui de lancer le culte de Marie. C'était une occasion parfaite pour Lui de placer Marie dans la place prioritaire dans l'église. Tout ce qu'il avait à dire c’était : « Vous avez absolument raison. Ne l'oubliez pas, et assurez-vous de lui donner la louange et le culte et l'adoration qu'elle mérite. » Il ne dit rien de la sorte. Au contraire, juste le contraire. « Heureux ceux qui entendent la Parole de Dieu et l'observent. » Il y a clairement, dans la vie et les paroles de Jésus, un rejet ferme et constant de tout honneur spécial pour cette femme. Ce n'est pas qu'Il ne se souciait pas d'elle. Il a montré qu'il se souciait d'elle quand Il l'a mise dans les soins affectueux de son apôtre bien-aimé, Jean. Il se souciait d'elle, mais Il ne voulait pas lui permettre ou à qui que ce soit de penser qu'elle avait des droits sur Lui, qu'elle avait un accès, une autorité, un pouvoir, une entrée, une connaissance, une adoration, même une bénédiction que personne d’autre n'aurait. Il a rejeté tout cela. Et avec cela, elle a disparu des pages de la Bible.

L'apôtre Paul dans les épîtres fait deux fois référence à la mère de Jésus, mais ne la nomme jamais. Dans Romains, se référant au Fils de Dieu, il dit qu’Il est né d'un descendant de David, selon la chair. Encore une fois, la distance est si claire. Paul ne la prendra pas et ne l'élèvera pas parce que l'Esprit de Dieu ne le permettrait pas. Paul le savait. Dans Galates, la deuxième fois qu'il se réfère à elle, il dit : « mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme. » En ce qui concerne toute explication de l'Évangile, aussi loin que va toute explication de la vie spirituelle, Marie ne joue aucun rôle. Paul écrit le magnifique traité sur la doctrine du salut appelé le livre des Romains, et tout ce qu'il peut dire sur la mère de Jésus c’est « un descendant de David ». Il écrit le grand traité, Galates, sur le pur et vrai et unique évangile et tout ce qu'il peut dire c'est : « Il est né d'une femme ».

L'Écriture ne dit rien de sa vie. Elle ne dit rien sur ses dernières années. Elle ne dit rien sur sa mort. Elle ne dit rien sur son enterrement. Bien qu'il y ait des tonnes de volumes catholiques qui parlent de la vie de Marie, des expériences de Marie, des miracles de Marie, de la mort de Marie, etc… Ce sont toutes des inventions, tous des mensonges, tous, inventés par des hommes, inventés par des démons. La Bible ne donne aucune description de son caractère, aucune description de son apparence physique du tout. Il n'y a aucun exemple biblique de personne qui prie pour elle, qui l'honore, la vénère. Quand elle apparaît avec des croyants, elle n'est qu'une parmi d'autres. Et je pense que cela doit choquer les catholiques romains qui lisent la Bible pour la première fois. Et la plupart ne la lisent jamais, mais ceux qui le font sont surpris que l'on dise si peu de choses sur Marie, quand dans le système on parle tellement d'elle. Il y a, et j'ai parcouru une liste aujourd'hui, des centaines et des centaines, voire des milliers de sites Web sur Marie, vous emmenant dans tous les sentiers imaginables dans le culte de Marie.

Une autre note le long de cette ligne de comparaison de la vision catholique de Marie avec la Bible : Marie est mentionnée plus de fois dans le Coran que dans la Bible. C'est une bizarrerie, n'est-ce pas ? Mais alors, comprenant que Satan, qui est l'auteur du Coran, veux mettre plus en valeur Marie qu'il ne devrait. C'est cohérent. Une chose intéressante c’est que les musulmans révèrent Marie.

Certains d'entre vous se souviendront, - et ne voudront probablement pas l'admettre, - de l’évêque Fulton Sheen. Quelqu'un se souvient de lui ? C'était à la télévision il y a longtemps. Il était un prêtre catholique très poli, raffiné qui parlait dans les premières années de la télévision. Je me souviens de l'avoir vu très jeune. Il y a 50 ans, Sheen était à la télévision. Et l’évêque Sheen a prédit que l'islam serait converti au catholicisme romain. Il a dit, je cite, « En raison d'une invitation des musulmans à une vénération de la mère de Dieu. » Rome fait beaucoup d'ouvertures aux musulmans. Le pape en a faits ; le pape Jean-Paul essayait toujours de rassembler les musulmans, et l'élément commun est leur révérence pour Marie. Marie pour les musulmans s'appelle en fait la vraie Sayyida, la vraie dame. Peut-être qu'à la fin, quand il y aura une grande religion mondiale massive, ce sera le culte de la déesse qui rassemblera tout cela.

Nous avons parlé du blasphème ; nous avons parlé de la comparaison. Un troisième point final, l'avertissement. Je peux prendre quelques minutes ou toute la nuit sur celui-ci. Mais, parce que vous êtes si gentil, je vais rester très bref. L'Écriture a beaucoup à dire sur l'adoration d'un faux dieu, n'est-ce pas ? C'est l'avertissement, la condamnation de tous ceux qui adorent un faux dieu, de tous ceux qui prônent le culte d'un faux dieu. Et cela commence réellement, comme vous le savez, dans l'Ancien Testament. Et probablement le meilleur endroit pour commencer est l'articulation la plus claire de la Loi de Dieu dans les Dix Commandements, Exode 20, « Alors Dieu prononça toutes ces paroles, en disant : Je suis l'Eternel, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Egypte, de la maison de servitude. Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face. Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l'Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux. »

L'autre jour, je suis allé rendre visite à quelqu'un à l'hôpital St. Joseph. J'ai garé ma voiture à Burbank, je me dirige vers l'hôpital et il y a une énorme idole qui me salue. Et qui est-ce ? C'est supposé être l'image de Marie. Je marche dans le bâtiment, et il y a une autre idole. Je monte dans l'ascenseur, je me lève, il y a une autre idole. De temps en temps, je vois une image de Jésus, mais Il est toujours mou et mort sur une croix. Dans Deutéronome, chapitre 5, « Je suis l’Eternel, Ton Dieu. » C'est une réitération, Deutéronome, la deuxième loi, la répétition de la loi originale de l'Exode. « Je suis l'Eternel, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Egypte, de la maison de servitude. Tu n'auras point d'autres dieux devant ma face. Tu ne te feras point d'image taillée, de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point; car moi, l'Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux. » Chapitre 6 verset 13, « Tu craindras l'Eternel, ton Dieu, tu le serviras, et tu jureras par son nom. Vous n'irez point après d'autres dieux, d'entre les dieux des peuples qui sont autour de vous; car l'Eternel, ton Dieu, est un Dieu jaloux au milieu de toi. La colère de l'Eternel, ton Dieu, s'enflammerait contre toi, et il t'exterminerait de dessus la terre. Vous ne tenterez point l'Eternel, votre Dieu, comme vous l'avez tenté à Massa. » Ne testez pas la patience de Dieu avec le culte des idoles.

Le chapitre 18 de Deutéronome, verset 9, « Lorsque tu seras entré dans le pays que l'Eternel, ton Dieu, te donne, tu n'apprendras point à imiter les abominations de ces nations-là. Qu'on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d'astrologue, d'augure, de magicien, d'enchanteur, personne qui consulte ceux qui évoquent les esprits ou disent la bonne aventure, personne qui interroge les morts. » Le culte de Marie est un effort mal conçu pour interroger une femme morte. C'est aussi un partenariat avec des médiums, des spirites, des lanceurs de sorts, des sorciers, des sorcières, des devins et tout le reste. Verset 12, « Car quiconque fait ces choses est en abomination à l'Eternel; et c'est à cause de ces abominations que l'Eternel, ton Dieu, va chasser ces nations devant toi. Tu seras entièrement à l'Eternel, ton Dieu. » Cela vous frappe. Cela devrait vous paraître si évident : il n'y a pas un seul endroit dans la Bible où l'on puisse suggérer que nous devons adorer Marie, et partout, il est clairement indiqué que nous devons adorer Dieu et Lui seul. Donc c’est très évident.

Regardez le Psaume 106, et c'est très semblable, mais je veux vous donner quelques passages des Ecritures que vous pouvez utiliser si vous parlez à des personnes de cela. Psaume 106, verset 28, « Ils s'attachèrent à Baal-Peor » c'est le Baal d'un endroit appelé Peor. « Ils s'attachèrent à Baal-Peor, et mangèrent des victimes sacrifiées aux morts. » Encore une fois, cette idée que, d'une certaine façon, les personnes mortes peuvent être adorées, peuvent être requises. Esaïe, chapitre 45, et si vous voulez plus de cela, il suffit de rechercher l'idolâtrie dans l'index thématique à l'arrière de la Bible d'étude et vous trouverez de nombreux passages. Mais dans Esaïe 45, je veux que vous voyiez ceci, verset 20 ; il est vraiment décrit l'idolâtrie à Marie : « Assemblez-vous », Ésaïe 45 : 20. « Assemblez-vous et venez, approchez ensemble, réchappés des nations ! Ils n'ont point d'intelligence, ceux qui portent leur idole de bois », vous voyez parfois des catholiques en parade avec une Marie en bois, « Et qui invoquent un dieu incapable de sauver. Déclarez-le, et faites-les venir ! Qu'ils prennent conseil les uns des autres ! Qui a prédit ces choses dès le commencement, et depuis longtemps les a annoncées ? N'est-ce pas moi, l'Eternel ? Il n'y a point d'autre Dieu que moi, Je suis le seul Dieu juste et qui sauve. » Et voici l'appel, verset 22 : « Tournez-vous vers moi, et vous serez sauvés, Vous tous qui êtes aux extrémités de la terre ! Car je suis Dieu, et il n'y en a point d'autre. » Et on se poserait la question, comment quelqu'un pouvait-il être sauvé avant Marie si elle est la médiatrice de toutes les grâces ? « Je suis Dieu et il n'y en a pas d'autre. »

Jérémie chapitre 2, verset 9, et ce sera le dernier que nous utiliserons dans l'Ancien Testament. Jérémie 2 : 9, « C'est pourquoi je veux encore contester avec vous, dit l'Eternel. » Au verset 11, « Y a-t-il une nation qui change ses dieux ? » Avez-vous changé de dieu ? C'est ce que le catholicisme romain a fait, il a changé les dieux. « Avez-vous changé les dieux quand ils n'étaient pas des dieux ? » Avez-vous substitué un non dieu à Dieu ? « Et mon peuple a changé sa gloire », Dieu étant leur gloire, " contre ce qui n'est d'aucun secours ! Cieux, soyez étonnés de cela; frémissez d'épouvante et d'horreur ! dit l'Eternel. Car mon peuple a commis un double péché : Ils m'ont abandonné, moi qui suis une source d'eau vive, Pour se creuser des citernes, des citernes crevassées, Qui ne retiennent pas l'eau. » Vous avez abandonné Dieu qui est la source des eaux vives pour la déesse, une citerne brisée qui n'offre absolument rien. Ceci est cohérent avec le Nouveau Testament. Le Nouveau Testament appelle à la même dévotion complète et totale à Dieu. Dans Matthieu 4 : 9, Satan tentant Jésus dit : « Je te donnerai toutes ces choses, si tu te prosternes et m'adores. » Jésus lui dit : « Retire-toi, Satan ! Car il est écrit : Tu adoreras le Seigneur, ton Dieu, et tu le serviras lui seul. » Cela, sortant de la bouche du Seigneur Jésus Lui-même.

Romains 1. Encore un peu plus et nous aurons fini. Romains 1, verset 22. Voici une description de l'humanité. « Se vantant d'être sages, ils sont devenus fous ; et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en images représentant l'homme corruptible ou d'une femme. » C'est exactement ce que le catholicisme romain a fait. Et ainsi, Dieu les a livrés. Ceci est un jugement divin qui leur tombe dessus. « C'est pourquoi Dieu les a livrés à l'impureté, selon les convoitises de leurs cœurs; en sorte qu'ils déshonorent eux-mêmes leurs propres corps; eux qui ont changé la vérité de Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi » quoi? « la créature au lieu du Créateur, qui est béni éternellement. Amen ! C'est pourquoi Dieu les a livrés à des passions infâmes : car leurs femmes ont changé l'usage naturel en celui qui est contre nature; et de même les hommes, abandonnant l'usage naturel de la femme, se sont enflammés dans leurs désirs les uns pour les autres, commettant homme avec homme des choses infâmes, et recevant en eux-mêmes le salaire que méritait leur égarement. » La pédophilie, l'homosexualité et l'immoralité qui sévissent dans le système catholique pourraient-elles faire partie du jugement de Dieu sur ceux qui ont abandonné le vrai Dieu pour le culte d'un être humain ?

Dans 1 Corinthiens, chapitre 5, verset 11, « Maintenant, ce que je vous ai écrit, c'est de ne pas avoir des relations avec quelqu'un qui, se nommant frère… » - maintenant, cela devient vraiment personnel - « …c'est de ne pas avoir des relations avec quelqu'un qui, se nommant frère, est impudique, ou cupide, ou » quoi ? « Un idolâtre. » Les personnes circulent aujourd'hui en disant, « O nos frères catholiques et nos sœurs catholiques. » Je souhaite que ce soit vrai. Vous ne pouvez pas vous associer à eux dans une communauté en affirmant et en les acceptant s'ils adorent des idoles. Le chapitre 10 nous dit pourquoi, 1 Corinthiens 10 : 14 : « C'est pourquoi, mes bien-aimés, fuyez l'idolâtrie. » L'idolâtrie est séduisante, empoisonnée ; c'est toxique. Vous ne pouvez pas rester avec cela. Verset 16 : « La coupe de bénédiction que nous bénissons, n'est-elle pas la communion au sang de Christ ? Le pain que nous rompons, n'est-il pas la communion au corps de Christ ? » Il dit : Vous savez, nous nous réunissons autour du Christ, nous nous réunissons pour célébrer le Christ dans Son sacrifice et dans Sa mort. Vous ne pouvez pas faire cela, et ensuite aller adorer les idoles. Verset 20 : « Je dis que ce qu'on sacrifie, on le sacrifie à des démons, et non à Dieu ; or, je ne veux pas que vous soyez en communion avec les démons.» L'idolâtrie est un culte démoniaque conçu par les démons. Verset 21 : « Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur, et la coupe des démons ». Vous ne pouvez participer à la table du Seigneur et à la table des démons. Vous ne pouvez pas adorer Marie et adorer Dieu, ou vous, verset 22, provoquerez certainement la jalousie du Seigneur.

2 Corinthiens 6, verset 15, « Quel accord y a-t-il entre Christ et Bélial ? », Bélial est un terme pour Satan. « Quel accord y a-t-il entre Christ et Bélial ? ou quelle part a le fidèle avec l'infidèle ? Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles ? Car nous sommes le temple du Dieu vivant. » Vous n'avez rien à faire avec cela. Le catholicisme romain n'a rien à voir avec le vrai christianisme, la vraie église. C'est quelque chose de complètement différent. Il appartient au royaume des ténèbres.

Enfin, dans Ephésiens 5 verset 5, « Car, sachez-le bien, aucun impudique, ou impur, ou cupide, c'est-à-dire, idolâtre, n'a d'héritage dans le royaume de Christ et de Dieu. » Si vous adorez un faux Dieu, vous n'avez pas part dans le Royaume de Christ et le Royaume de Dieu. Et vous voyez, bien-aimés, c'est pourquoi la Bible dit dans 1 Jean 5 : 21 : « Petits enfants, gardez-vous des idoles, » comme nous venons de le lire. Vous ne pouvez pas adorer un faux dieu et le vrai Dieu en même temps.

Mais nous adorons le vrai Dieu vivant. Je veux conclure avec un aperçu du paradis. Apocalypse 4, vous vous souvenez de cela, Apocalypse 4 : 8, « Les quatre êtres vivants ont chacun six ailes, et ils sont remplis d'yeux tout autour et au dedans. Ils ne cessent de dire jour et nuit : Saint, saint, saint est le Seigneur Dieu, le Tout-Puissant, qui était, qui est, et qui vient ! » Au verset 11, il dit : « Tu es digne, notre Seigneur et notre Dieu, de recevoir la gloire et l'honneur et la puissance; car tu as créé toutes choses, et c'est par ta volonté qu'elles existent et qu'elles ont été créées.» Au chapitre 5 verset 9, ils ont chanté un nouveau chant, « Tu es digne…», parlant du Christ, «…de prendre le livre, et d'en ouvrir les sceaux; car tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation ; tu as fait d'eux un royaume et des sacrificateurs pour notre Dieu et ils régneront sur la terre. » Aux versets 12 et 13 : « Ils disaient d'une voix forte : L'agneau qui a été immolé est digne de recevoir la puissance, la richesse, la sagesse, la force, l'honneur, la gloire, et la louange. Et toutes les créatures qui sont dans le ciel, sur la terre, sous la terre, sur la mer, et tout ce qui s'y trouve, je les entendis qui disaient : A celui qui est assis sur le trône, et à l'agneau, soient la louange, l'honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles ! Et les quatre êtres vivants disaient : Amen ! Et les vieillards se prosternèrent et adorèrent. » Voyez-vous Marie là-bas quelque part ? Quelle tromperie surprenante !

D'accord, nous allons nous arrêter là, et je veux faire encore une chose, mais pas ce soir. J'espère que vous viendrez dimanche soir prochain, il y a encore un élément du catholicisme que vous devez connaître, et c'est la messe. Donc, si le Seigneur le veut, et si je peux faire tout le travail pendant que je suis à Louisville pour une conférence de l'Evangile avec Al Mohler, dimanche prochain nous parlerons de la messe, parce que c'est un domaine critique. Vous avez été si patient ce soir, comme si vous aviez le choix.

Seigneur, bénis ces personnes précieuses et encourage-les, parce qu'elles ont reçu la connaissance de la vérité par Ta grâce. Et aide-nous, Seigneur, à faire sortir beaucoup de personnes de cette horrible obscurité.

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